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 la censure à travers les âges

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5 participants

Arabem a-t-il eu raison d'éditer le post de l'innocente et jeune tango?
NON, tango est gégniale, ne pas être d'accord avec elle est déja une abération en soi
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NON, parceque le message de tango n'était ni violent, ni quoi que ce soit, elle était juste en désaccord avec arabem
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NON je ne sais pas ce qui c'est passé mais de toute façon arabem est nul comme modo
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OUI (mais juste parce que je suis un gros débile moi aussi)
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tout ça c'est encore la faute à GIL (quel enfoiré ce GIL!!!^^)
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Qui sont tango, gil et arabem?
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Total des votes : 2
 
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tango
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MessageSujet: la censure à travers les âges   la censure à travers les âges I_icon_minitimeLun 12 Nov - 21:46

[size=12]Les grandes dâtes de la Censure




1535
13 janvier
François Ier censure les livres
Se sentant menacé par les idéologies luthériennes, le roi de France fait interdire toute impression de livres. Il annule sa décision quelques jours plus tard mais conserve le principe de la censure qu'il confie à une commission du parlement de Paris.



1548
18 novembre
Le parlement de Paris interdit la représentation des Mystères
Les Confrères de la Passion sont interdits de représentation par le Parlement de Paris, ce qui marque le début du déclin des Mystères au profit du théâtre Renaissance. Les Mystères représentaient généralement la Passion du Christ, en se nourrissant également de légendes et d'histoires populaires. Ils étaient écrits pour plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines de personnes qu'ils mettaient en scène.


1752
7 février
L'Encyclopédie est censurée
Un arrêté du conseil du roi Louis XV interdit l'impression et la diffusion des deux premiers volumes de "L'Encyclopédie" ou "Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers". L'œuvre collective dirigée par Denis Diderot et d'Alembert est jugée subversive par les Jésuites qui la qualifie "d'athée et matérialiste". Le contenu politique et philosophique, plus que les parties techniques et scientifiques, est décrié. Les thèses développées par l'abbé de Prades, un des contributeurs de l'Encyclopédie, sont, selon les membres du conseil, "contaminées par l'esprit voltairien".


1852
17 février
Louis-Napoléon censure la presse
Le président de la République Louis-Napoléon Bonaparte établit un ensemble de mesures préventives et de sanctions visant à museler la presse. Par décret, il est interdit aux journaux de rendre compte des débats parlementaires et des procès autrement qu'en reproduisant les procès-verbaux officiels. La censure des images est rétablie. Les journaux ne respectant pas ce décret pourront être suspendus après un avertissement et définitivement supprimés s'ils récidivent. Entre mars 1852 et juin 1853, 91 avertissements seront délivrés par le ministre de la Police, Maupas.


1913
21 novembre
La censure tsariste s'attaque aux manuscrits de Tolstoï
Trois ans jour pour jour après la mort de l’écrivain, la censure tsariste décide de détruire les manuscrits de Tolstoï. Ce dernier avait toujours été en rupture avec la politique de son pays malgré son engagement militaire. Il avait notamment abandonné ses études après la lecture des œuvres de Jean-Jacques Rousseau. Mais surtout, il avait fortement condamné le pouvoir autocratique de son pays et le rôle de l’Eglise orthodoxe, ce qui lui avait valu l’excommunication.




1919
12 octobre
La censure est levée un an après la fin de la guerre
Le sénat français ratifie le traité de paix du 11 novembre, un an après sa signature. La censure préventive qui avait été instaurée par le ministère de la Guerre le 4 août 1914, est levée.



1970
17 novembre
Hara-Kiri disparaît des kiosques
Le journal créé dix ans plus tôt par le professeur Choron subit une énième interdiction. Misant sur la provocation, ce dernier s’est encore illustré dernièrement en titrant « Bal tragique à Colombey : 1 mort ». Cette approche ironique de la mort de De Gaulle et du traitement journalistique de la tragédie du dancing de Saint-Laurent-du-Pont dépasse les bornes aux yeux de la censure. Hara-Kiri disparaît ainsi en tant que quotidien, mais il paraîtra encore jusqu’en 1985 en tant que mensuel.


1988
octobre
Ken le survivant fait scandale
TF1 débute la diffusion de « Ken le survivant », dessin animé adapté du manga de Tetsuo Hara et Buronson et qui évoque un univers post-apocalyptique violent. Initialement destinée à des adolescents âgés de plus de 16 ans, la série est diffusée dans le « Club Dorothée », émission pour enfants. Les scènes de violences ponctuées par la célèbre réplique « Tu es déjà mort » provoquent un scandale et une censure progressive. Finalement, Ken sera retiré des écrans français avant la fin des épisodes. Il avait également été interdit dans certaines régions japonaises.



EN CE 12 NOVEMBRE 2007, ARABEM EDITE UN POST DE FACON TOTALEMENT ARBITRAIRE UN POST (POURTANT BRILLANT) DE TANGO Evil or Very Mad
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tango
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MessageSujet: Re: la censure à travers les âges   la censure à travers les âges I_icon_minitimeLun 12 Nov - 21:47

Histoire de la censure

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L'histoire de la censure est très étroitement liée à celle des régimes politiques des États. Néanmoins, de tout temps, les modes d'expression de la pensée, tout d'abord sous forme orale et théâtrale, puis écrite et, enfin, cinématographique, ont été plus ou moins limités et toujours réglementés, même dans les démocraties libérales.

Aujourd'hui, en France et dans la plupart des sociétés occidentales, la consécration du principe de la liberté d'expression interdit aux systèmes juridiques de prévoir des régimes de censure générale ou l'application de peines pénales pour des « délits d'expression », même si des régimes spécifiques d'autorisation subsistent dans certains cas.

La censure dans l'Antiquité

Dans l'Antiquité, Socrate, déclaré impie et coupable de corrompre la jeunesse, fut condamné à boire la ciguë. Alors que le philosophe était considéré comme un citoyen exemplaire, sa mort fut décidée car il s'opposait à l'idée reçue selon laquelle les astres avaient un caractère divin ou mystérieux, manifestation d'une indépendance d'esprit jugée intolérable et dangereuse dans la société athénienne du IVe siècle. Avant lui, Anaxagore et Protagoras avaient déjà été condamnés à l'exil pour délit d'opinion.



La société romaine fut en revanche assez libérale concernant la liberté d'expression et de croyance. L'étendue de l'Empire romain était telle que cette tolérance apparaissait nécessaire pour préserver l'Empire des risques de rébellion ou d'éclatement. Cependant, si la censure théâtrale fut supprimée à la fin de la République, elle fut rétablie peu après, et l'Empereur s'autorisa parfois à condamner certains auteurs, dont des poètes (comme Ovide) ou même des hommes politiques.

La censure religieuse
En Europe, c'est l'empereur Constantin Ier le Grand qui instaura un régime de censure religieuse, renforcé par l'empereur Théodose Ier. De nombreux ouvrages et manuscrits considérés hérétiques par l'Église furent brûlés, et leurs auteurs inquiétés ou punis. Cependant, c'est surtout à partir de l'instauration de l'Inquisition au XIIIe siècle que la censure religieuse prit un tour systématique et férocement répressif. Des tribunaux spéciaux, appelés tribunaux inquisitoriaux, furent institués, notamment en Espagne, en France et en Italie ; chargés de réprimer les crimes d'hérésie et de sorcellerie, ils n'hésitèrent pas à prononcer les peines les plus dures à l'encontre des accusés.

Avec la découverte de l'imprimerie au XVe siècle, la censure s'exerça de façon préalable, soumettant les imprimeurs à une obligation de transmission des manuscrits avant impression. En Espagne, par exemple, une pragmatique royale de 1502 institua un contrôle de l'imprimerie, tandis que l'Inquisition était expressément chargée de surveiller l'orthodoxie religieuse des ouvrages. Au niveau de la papauté, le concile de Trente instaura l'Index (1557), catalogue de livres prohibés, périodiquement mis à jour, et qui ne disparut définitivement qu'en 1966. La censure religieuse n'épargna pas le domaine de la science, comme en témoignent les condamnations de Copernic (1616) et de Galilée, contraint par le tribunal de l'Inquisition d'abjurer ses théories en 1633.

Jusqu'au XVIIe siècle, la censure, essentiellement d'origine religieuse, ne fit pas l'objet d'une organisation systématique de la part de l'État. Certes, un monarque comme Philippe III le Hardi avait placé dès 1275 les libraires sous le contrôle de l'Université, elle-même placée sous l'autorité des clercs, mais en règle générale la censure émanant du pouvoir royal fut circonstancielle et apparut bien souvent, dans une société largement soumise à la religion, comme une conséquence des interdits émanant de l'Église. On peut voir une application de ce propos en considérant la France du XVIIe siècle, où le théâtre était soumis à un régime d'autorisation ; à cet effet, le procureur du roi surveillait le répertoire et pouvait interdire les représentations susceptibles de choquer les sentiments religieux, ce qui explique la censure qui frappa à plusieurs reprises l'œuvre de Molière. Ainsi le Tartuffe fut-il interdit par le premier président du Parlement, Guillaume de Lamoignon, agissant véritablement comme la main de l'Église, alors même que le roi avait permis les premières représentations de cette pièce. De surcroît, le clergé, en la personne de l'archevêque de Paris, Hardouin de Péréfixe, menaça d'excommunication les spectateurs qui se présenteraient à l'entrée du spectacle.

La censure d'État
Avec l'affirmation de l'absolutisme, qui s'appliqua à organiser et à contrôler le monde des lettres, une véritable censure idéologique vint s'ajouter, sans s'y substituer toujours, à la censure religieuse. Fort significativement, c'est en 1629 que Richelieu institua le « privilège du roi », délivré sous l'autorité du garde des Sceaux, dont l'obtention conditionnait la parution d'un livre. Tous les livres et toutes les gazettes devaient faire l'objet d'une autorisation préalable, qui pouvait être refusée par l'administration de façon arbitraire. Il existait un personnage directement chargé de ces autorisations, le directeur de la Librairie, à qui revenait la tâche d'assurer le respect de la censure et dont les pouvoirs en la matière étaient immenses.

Après le règne de Louis XIV, qui marqua le sommet de la monarchie absolue, le règne de Louis XV ne vit pas, comme on aurait pu s'y attendre, un relâchement de la censure. Bien au contraire, la lente diffusion de l'esprit des Lumières et l'effervescence du mouvement intellectuel pendant les cinquante ans précédant la Révolution française furent perçues comme une menace immédiate par le pouvoir royal et l'Église. Ainsi, à partir de 1742, les services du directeur de la Librairie furent réorganisés dans un souci d'efficacité et reçurent l'assistance permanente d'un corps de soixante-dix-neuf fonctionnaires, spécialisés par matière. Au cas où un ouvrage était publié sans l'autorisation du directeur de la Librairie, et était considéré comme outrageant, des poursuites pouvaient être engagées (Diderot en fut victime, qui passa trois mois à Vincennes après la publication en 1749 de la Lettre sur les aveugles) et les auteurs condamnés au bannissement hors du royaume de France (sanction qui frappa notamment le philosophe La Mettrie en 1746), en vertu d'une déclaration royale du 10 mai 1728, énonçant que seraient punies « toutes les atteintes à l'autorité royale, à la religion ou à la paix publique ». Quant à l'imprimeur de ces ouvrages interdits, il encourait les peines du carcan ou des galères. Certains ouvrages furent ainsi poursuivis et brûlés, comme les Lettres philosophiques de Voltaire en 1735, l'Émile de Jean-Jacques Rousseau en 1762 et l'Histoire des Indes de l'abbé Raynal en 1770. Pour cette raison, nombreux furent les textes, tels De l'esprit des lois (1748) de Montesquieu, qui parurent à l'étranger sans nom d'auteur, à La Haye, Genève ou Londres. Symétriquement, certains ouvrages firent l'objet d'une tolérance, à l'image de l'Encyclopédie, dont les différents volumes ne purent être imprimés et diffusés que grâce à la protection de Malesherbes, directeur de la Librairie à partir de 1750.

Le théâtre ne fut pas en reste, et c'est à partir de 1701 qu'un corps de « censeurs royaux », placés sous l'autorité du lieutenant général de police, exerça une censure prélable. Si une pièce était refusée, l'auteur dramatique pouvait cependant la faire représenter, à condition d'accepter d'opérer les coupes ou les corrections qui lui étaient proposées. Sous la pression conjuguée de l'Église, du Parlement et de l'armée, de nombreuses pièces furent censurées, du Mahomet de Voltaire, interdit après sa première représentation en 1743, au Déserteur (1769) de Sedaine. Malgré la libéralisation qui accompagna l'avènement de Louis XVI en 1774, il fallut l'appui opiniâtre de Marie-Antoinette pour que Beaumarchais parvienne à faire jouer le Barbier de Séville et le Mariage de Figaro, véritables charges contre l'ordre établi.

Dans les autres pays d'Europe, seules les Provinces-Unies et l'Angleterre pouvaient apparaître comme des terres de relative liberté, même si, dans ce dernier pays, il fallut attendre le XIXe siècle pour voir les bénéfices de l'acte de Tolérance (1689) étendus aux catholiques, aux israélites et aux athées. En Russie, la censure prit un tour de plus en plus restrictif à partir du règne de Catherine II, mais c'est sous Nicolas Ier que fut créée, immédiatement après la découverte du complot des décabristes (1825), la 3e section de la police politique, dont le chef, le fameux Bekendorff, fut un censeur vigilant, non seulement pour les ouvrages de Pouchkine, mais aussi pour l'ensemble des lettres russes pendant une bonne partie du XIXe siècle.




La libéralisation
À partir du XVIIIe siècle, la pensée philosophique procéda à une remise en cause de l'absolutisme et de l'exclusivité des dogmes religieux, attaquant par là même le principe de la censure au nom de la liberté d'expression. Concrètement, c'est la Déclaration d'indépendance américaine du 4 juillet 1776 qui marqua un tournant en affirmant que la liberté est l'un des droits inaliénables de l'homme. En France, la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789 établit solennellement la liberté d'expression et d'opinion religieuse, son article 11 disposant que « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme. »

En conséquence, la censure en matière de théâtre fut abolie, moins de deux ans plus tard, par la loi des 13 et 19 janvier 1791.

À l'égard de la presse, c'est l'article 17 de la Constitution du 3 septembre 1791 qui consacra le principe selon lequel « nul homme ne peut être recherché ni poursuivi à raison des écrits qu'il aura fait imprimer ou publier ». Malgré cette affirmation solennelle, la censure ne disparut pas, dans un contexte révolutionnaire où la manifestation de toute opinion dissidente pouvait conduire à l'emprisonnement ou à la mort. Ainsi la Convention rétablit-elle la censure de la presse dans des termes particulièrement véhéments : « Les empoisonneurs de l'opinion publique tels que les auteurs de journaux contre-révolutionnaires seront mis en prison et leurs presses, caractères et instruments, distribués entre les imprimeurs patriotes. »

Après la Révolution, différents systèmes d'autorisation et de contrôle furent mis en place par les régimes successifs. Le Directoire, mais surtout le Consulat puis l'Empire s'employèrent méthodiquement à éliminer ce qui subsistait de la liberté de la presse, par l'interdiction des journaux politiques et l'institution de sévères régimes de police à l'encontre du théâtre, qui, sous l'Empire, relevait d'ailleurs de la compétence du ministère de l'Intérieur. De grands écrivains comme Mme de Staël, en butte à l'hostilité de Napoléon Ier, furent exilés ou empêchés de publier.

Après la chute de l'Empire, nombreux furent les régimes qui, tout en inscrivant formellement le principe de la liberté d'expression dans leurs textes fondamentaux, ne résistèrent pas à la tentation de durcir leur législation pour en diminuer la portée. Ainsi, bien que la charte de 1814 eût proclamé dans son article 8 que « les Français ont le droit de publier et de faire imprimer leurs opinions en se conformant aux lois », le régime de la Restauration s'effondra en raison de la promulgation par Charles X des ordonnances de 1830, dont l'une cherchait à restreindre la liberté de la presse. Par la suite, les gouvernements, instruits par cette expérience, cessèrent de faire jouer la censure préalable, sans s'interdire pour autant de déférer auteurs, directeurs de publication et éditeurs devant les tribunaux. En 1857, sous le second Empire, Flaubert se vit accuser d'immoralité à l'occasion de la parution de Madame Bovary, mais fut acquitté. La même année, Baudelaire fut condamné pour outrage aux bonnes mœurs pour son recueil les Fleurs du mal.

Si, en France, la loi du 29 juillet 1881 consacra définitivement la liberté de la presse en droit positif et si la censure en matière théâtrale cessa d'exister en 1906, d'autres pays continuèrent à soumettre leurs créateurs à une censure systématique, à l'instar de l'Espagne sous la dictature de Miguel Primo de Rivera puis de Franco, en passant par l'Allemagne nazie, les dictatures d'Amérique latine et les pays socialistes, à commencer par l'Union soviétique qui ne se contenta pas de déterminer les critères esthétiques du « réalisme socialiste », mais exila, condamna ou interdit de nombreux artistes, comme Pasternak ou Soljenitsyne.
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GiL
Banni - Mytho classé 4e serie et qui clame qu'il a eu un tres haut niveau



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MessageSujet: Re: la censure à travers les âges   la censure à travers les âges I_icon_minitimeLun 12 Nov - 21:51

J'ai voté pour moi !!!
J'ai vu mon nom et hop j'ai cliqué !

Juste pour dire que le mecreant est coutumier de la langue de bois et du verouillage intempestif de sujets...

Ah, il ne connait pas l'impartialité, vu que quand le Messie "pisse a la raie" de Justine Henin, ca le fait rire...

Fallait le dire que c'etait une question de vocabulaire jeune !
Donc pour faciliter la comprehension et les echanges sur ce forum, je le dis haut et fort :

En comptant sur ta comprehension...
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MessageSujet: Re: la censure à travers les âges   la censure à travers les âges I_icon_minitimeLun 12 Nov - 21:56

moi aussi j'ai voté pour moi Very Happy (faut dire que je suis vraiment gégniale Very Happy Laughing Very Happy )

n'ésitez pas à venir partager vos impressions...
Vous pouvez tout aussi bien parler de Paris-match qui arrange les photos de Sarko pour pas qu'on lui voit ses bourrelets...
autant que ce topic soit constructif :biggrin:
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MessageSujet: Re: la censure à travers les âges   la censure à travers les âges I_icon_minitimeLun 12 Nov - 21:58

Franchement c'est débile là ou vous en êtes ... Rolling Eyes
Vous vous engueulez à chaque posts, cela nuit à la bonne entente du forum. Jérôme a galéré je pense à lancer un forum, cela est difficile. Respectez son boulot. Je ne dis pas qui a tort, mais je pense qu'il faut dévérouiller le topic de bienvenue, cela fait tâche un verrou là bas, et virer également les sujets hors sujets, et tous, même les allusions aux disputes passées (sur le topic de Deuce, pas sur les autres).

Et puis arrêtez de vous engueuler. C'est idiot. On est sur un forum, on est là pour se détendre. Alors arrêtez un peu de dire que untel est un crétin et qu'il a tort. Il n'y a pas qu'une vérité. On peut débattre sur un sujet sans se lancer des pierres.

Je n'ai pas l'habitude de donner mon point de vue sur la façon de diriger et de se conduire sur un forum, mais là ... c'est triste à voir. Si vous continuez, cela deviendra infotennisbis.


PS : si j'ai mis le post là, ce n'est pas contre tango, je pense que son topic doit être pris au second degré, mais c'est parce que l'autre est vérouillé.
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MessageSujet: Re: la censure à travers les âges   la censure à travers les âges I_icon_minitimeLun 12 Nov - 22:02

GIL et arabem se sont enguelé sur un topic (ce qi est leur droit) et la seule chose que arabem a su faire c'est éditer les posts de GIL au nom du Hors Sujet.
Je me suis juste permise de dire que j'étais contre ces méthodes et il m'a éditer aussi (grave erreur Twisted Evil )

voilà l'histoire...

Avant qu'il ne m'édite pour rien je n'avais aucun probleme avec araben...
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MessageSujet: Re: la censure à travers les âges   la censure à travers les âges I_icon_minitimeLun 12 Nov - 22:02

Soutien à Arabem passé à tabac depuis quelques jours.
Modo courtois, trop peut-être, qui met à l'aise les nouveaux intervenants dont certains peuvent avoir des hésitations.

Pourquoi faut-il systématiquement que 100% des forums dégénèrent pour rien du tout ?
Même virtuellement, les hommes ont bien du mal à cohabiter.
king
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MessageSujet: Re: la censure à travers les âges   la censure à travers les âges I_icon_minitimeLun 12 Nov - 22:04

Ce n'est vraiment pas le moment d'attiser les flammes tango. Ca ne t'autorise pas de te meler de cette histoire, dont tu ne sais peu de chose.


Et puis Gil qui continue à m'insulter...


Mon but de ce forum est ce que les nouveaux de ce forum se sentent egaux et pas inferieur par rapport à des gens agressif comme Gill. Stop le quasi terrorisme intellectuel.

Ce n'est pas un forum pour specialiste ici.


Topic verouillé.


Dernière édition par le Lun 12 Nov - 22:10, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: la censure à travers les âges   la censure à travers les âges I_icon_minitimeLun 12 Nov - 22:04

tango a écrit:
GIL et arabem se sont enguelé sur un topic (ce qi est leur droit) et la seule chose que arabem a su faire c'est éditer les posts de GIL au nom du Hors Sujet.
Je me suis juste permise de dire que j'étais contre ces méthodes et il m'a éditer aussi (grave erreur Twisted Evil )

voilà l'histoire...

Avant qu'il ne m'édite pour rien je n'avais aucun probleme avec araben...

Non mais comme je l'ai dit un peu plus haut (je ne sais pas si tu l'a slu, vu que j'ai édité après) ce n'est pas contre toi. Je pense juste que s'engueuler à l'endroit où l'on est sensé accueillir les gens, ce n'est une très bonne idée.
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MessageSujet: Re: la censure à travers les âges   la censure à travers les âges I_icon_minitimeLun 12 Nov - 22:06

Tango ce n'est pas le moment d'attiser les flammes, tu ne sais que peu de chose. Et il vaut mieux pour toi de ne pas te meler...


Gil qui continue à m'insulter... De mieux en mieux.

Je t'avais pourtant dit de changer de ton...


Topic verouillé...
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MessageSujet: Re: la censure à travers les âges   la censure à travers les âges I_icon_minitime

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