ADELAIDE

Voici le tableu du premier tournoi de l'année !

http://www.tennis.com.au/pages/image.aspx?assetid=RDM39445.5691091435

Et les surprises commencent : Defaites de Stepanek (TS4) face a Siriani ( ) 7/6 4/3 ab, de Simon (TS5) face a Llodra 7/6 6/3 et de Del potro (TS7) face a Russell 6/3 6/3

Autres résultats

Querrey bat Darcis 7/5 6/4
Becker bat Smeets 3/6 6/4 6/2
Zverev bat Mayer6/3 6/3

y a moyen de voir ce tournoi sur le net ?

1. Lancer Lecteur Windows Media
2. Fichier, ouvrir une URL
3. Copier une des url ci-dessous


§ Tennis TV
mms://195.122.130.135/speedup-tv_Tennis-TV_10


§ Orange sport
mms://livewm.orange.fr/live-multicanaux


§ Eurosport
mms://a1729.l2168647534.c21686.g.lm.akamaistream.net/D/1729/21686/v0001/reflector:20965
Qualité TRES bof !


J'ai mis les url car sinon faut les taper à la main

Si Querrey progresse physiquement, il peut intégrer assez vite le top 20 je pense. Il a un bon jeu assez complet, 2 coups très forts (coup droit-service) et un bon mental.

Ou alors, sur ce lien => http://www.myp2p.eu/channel.php <=

Cliques "Sports" / "TennisTV"

voila

Victoire de Llodra face a Korolev sur exactement le meme score que lors de son 1er tour face a Simon (7/6 (3) 6/3). Il accede au 1/4 ou il affrontera Benjamin BEcKER !

PHM, malgres un service tres irrégulier, est venu a about de GUCCIONNE et ces 24 aces 4/6 6/4 6/3. Au prochain tour, il jouera l'australien Sirianni, tombeur de sam querrey en 3 manches !

wouhouuu, allez les bleus!!!!! :france:

Que calor !


Jour de l’an, jour variant. Mathieu a sué pour écarter Benneteau,
Tsonga a assuré et Grosjean, victime d’une insolation, a périclité.

AU P’TIT DÉJ, Paul-Henri Mathieu
avait failli avaler de travers son toast à
la marmelade en lisant, dans The Australian,
le couplet de Lleyton Hewitt sur
la canicule du moment. En substance,
Monsieur Météo locale tenait ce discours
: « Qu’on arrête avec ces histoires
de chaleur extrême, qu’on arrête
de dire que c’est injouable. Si quelqu’un
n’est pas capable de jouer trois
sets là-dessous, qu’il change de
métier ! On est athlète ou on ne l’est
pas. » Compris les chochottes ? « Ça
m’a fait doucement rigoler quand j’ai
lu ça, commenta Mathieu. Hewitt, il
joue quand en plein cagnard en Australie
? Pas souvent. Vu que c’est la
star ici, il a tout le temps droit à une
programmation en nocturne. Il
abuse. »
Hier soir, l’anecdote n’a pas eu un gros
succès auprès de Sébastien Grosjean.
Après avoir gagné 6-4 le premier set
contre le très bizarre Vince Spadea, le
Marseillais a sombré, assommé par un
sévère coup de chaud. Il quitta le
navire Adélaïde après deux sets fantômes
(6-1, 6-3) mais n’avait pas,
désolé Lleyton, l’intention d’aller à
l’ANPE du coin. « Début du deuxième set, raconte Grosjean, y’a plus personne.
J’ai chaud partout, de la tête au
pied, je suis au ralenti et ça défile
vite. » À Sydney, le climat a l’air moins
fou. C’est là-bas, en qualifs, que Grosjean
essaiera, en fin de semaine, de se
lancer avant l’Open d’Australie. Ici,
pour lui, c’est bouillu et foutu.
En fouillant dans sa mémoire, Paul-
Henri Mathieu n’était plus sûr d’avoir
déjà trimé, comme hier, dans un four
pareil (42 oC et un air qui, à la première
inspiration, vous assèche l’oesophage,
les bronches et toute la tuyauterie).
Allô Mats ? Allô ?
Pour ajouter une difficulté au problème,
Julien Benneteau et « PHM »
n’ont pas ménagé la monture de
l’autre. Le second, 25e mondial, a
certes dominé le premier, 68e, en deux
sets mais 7-6, 7-5 et en deux heures et
demie. « Première constatation, relevait
Benneteau, la condition physique
est au point. L’année dernière, j’avais
perdu au premier tour àMelbourne en
finissant cramé et déshydraté. Y’a du
mieux ! Ensuite, si je garde ce niveaulà,
je crois que je ne vais pas perdre à
tous les coups. Pour moi, le contenu est
intéressant ; je peux m’appuyer dessus
pour la suite. »
Finalement, d’avoir perdu blanc son
jeu de service quand il engagea à 5-3
dans la seconde manche ne lui obstruait
pas trop le gosier. « Pff ! si un
peu… Mais Paulo a d’abord eu deux
balles let favorables dans ce jeu et ça
m’a déstabilisé. » Tête de série no 2 ici,
Mathieu voulait principalement retenir
le secours parfait de sa première
balle à chaque urgence.« Jeme suisen
revanche bien déconcentré après avoir
breaké au début du second set. Là, j’ai
commis quelques fautes stupides. »
Dès qu’ils établiront de nouveau la liaison,
Mathieu et son « pas-tout-à-faitencore-
mais-bientôt » nouvel entraîneur
MatsWilander pourront s’amuser
à comparer les climats et les bronzages.
« Mats habite dans l’Idaho, en
pleine montagne. Ces derniers jours,
raconte Mathieu, on n’arrivait plus à se
joindre. Je crois qu’il ne savait même
pas contre qui je jouais. Avec les tempêtes
de neige qu’il y a chez lui, il était
coupé de tout. » Wilander est attendu ici demain. Et comme il n’y a pas de blizzard
à Paris, Mathieu a pu compter
sur les conseils téléphoniques de
Patrice Hagelauer. Son second coach
sera sans doute mis de nouveau à
contribution sur le prochain dossier à
traiter, dès aujourd’hui : Chris Guccione
et son service marteau-piqueur.
Pas besoin de téléphoner à Éric Winogradsky
pour savoir s’il fait beau chez
l u i . D e p u i s l a g r a n d e
tribune d’Adélaïde, il avait hier
vue plongeante sur son protégé Jo-
Wilfried Tsonga, vainqueur du Roumain
Hanescu (6-3, 4-6, 7-5). Il a donc
très bien distingué le bon et le moins
bon. Mais Tsonga a une qualité très
affirmée : l’amour du combat.« Quand
il faut aller chercher un match, dit
“ Coach Wino ”, on peut lui faire
confiance. »
FRÉDÉRIC BERNÈS

Wouhouuu!!!! Ca a l'air marrant Adelaide dans ces conditions!!!!
En tout cas une chose est sûre et certaine, 42°C, moi je pourrais pas!!!! je meurs après l'échauffement!!!! C'est tarré de jouer dans ces conditions..... Au moins à Melbourne y'aura le toit et la clim, mais ça c'est que pour la Rod Laver Arena...... ça va suer sur les courts annexes........

brrrr, rien que d'y penser j'ai mal pour eux!!!!! aaarggggggggghhhhhhhh

Tsonga en quarts


Jo-Wilfried Tsonga a dominé Ernests Gulbis et accède aux quarts de finale du tournoi d’Adelaïde.



Il y aura trois Français en quarts de finale au tournoi du tournoi d’Adelaïde. Jo-Wilfried Tsonga rejoint Paul-Henri Mathieu et Michaël Llodra suite à son succès sur Ernests Gulbis (6/3 6/2). En quarts, le Manceau affrontera Lleyton Hewitt.



Résultats du 2e tour:

Nieminen (Fin, 3) - Dancevic (Can, q) 6/4 6/1
Hewitt (Aus, 1) - Acasuso (Arg) 6/2 6/2
Spadea (EU) - Zverev (All) 6/3 7/5
Tsonga (Fra, 6) - Gulbis (Let) 6/3 6/2

arabem a écrit:

Tsonga (Fra, 6) - Gulbis (Let) 6/3 6/2

J'ai les nerfs, j'avais le Letton dans mon tenniscoach. Intéressant le Tsonga-Hewitt. On va voir ce qu'il a dans le froc Hewitt.

Tsonga me surprend de plus en plus
Vraiment tres solide pour sortir Gulbis.
Ces dans ces conditions qu'on va voir si les prepa physique de pré saison ont eté bonne

vdd a écrit:

arabem a écrit:

Tsonga (Fra, 6) - Gulbis (Let) 6/3 6/2

J'ai les nerfs, j'avais le Letton dans mon tenniscoach. Intéressant le Tsonga-Hewitt. On va voir ce qu'il a dans le froc Hewitt.

Idem, j'ai aussi le letton dans l'une des mes teams, mais par interet pour le TC CUP PRINTEMPS, il a mieux valu pour moi que Tsonga gagne ce match.
En ce qui te concerne mon vddou, ca sent le roussi pour ta team "paella", tu as deja de nombreux points de retards, tu risque de te faire sortir dès le tour des qualifs(ca fait desordre tout ça )

Il va falloir que tu abuses de tes formulaires de transferts afin d'avoir une equipe plus competitive tout le long de la saison
D'ici l'open D'Australie, tu peux effectueur au moins 6 changements, ce n'est pas trop tard



Sinon pour le match Hewitt/Tsonga, je suis degouté que ses deux joueurs s'affrontent si tot, ca aurait été presque la finale avant la lettre, une telle affiche meritait au minimum une demi-finale !
Ils s'affrontent trop tot et puis je ne pourrais voir la partie en direct car sport plus diffuse le tournoi qu'à partir des demis

C'est quoi ces histoires de TC Cup

Pour ma team Paella j'ai 6 très bons joueurs, mais j'en avais que 2 en course cette semaine et ils sont toujours là.

Tsonga a bien tenu le coup.J'attends de voir ce qu'il va donner contre Hewitt.J'ai toujours pensé que le Français surfait sur la vague de la nouveauté et qu'il allait vite finir par être dépassé dans les mois qui suivaient ses belles performences.Finalement, j'aimerais bien le revoir épingler Hewitt.

Hewitt qui a déclaré que les joueurs qui ne supportaient pas de jouer sous de grosses chaleurs ferait mieux de quitter le métier. Il a pas perdu sa langue celui là.

Ouai il s'est bien fait cassé et a juste titre je trouve. Du fait de son statut de star local il n'a pas a multiplié les matchs en pleine chaleur, donc c'est sur que c'est bizarre de le voir dire ça

Je continue à croire en TSONGA, c'est un formidable battant, et que son style de jeu me laisse toujours croire à une continuation reguliere de sa progression

Si il n'a pas de gros pepins physique d'ici la fin de l'année, il sera au moins top 20.

Mais pour son prochain match je vois plutot Hewitt s'imposer, tout en esperant une nouvelle sensation comme au Queen's l'an passé. En tout si il réedite un niveau de jeu comparable au queen's de l'an passé, alors il a les clés pour serieusement menacer le guerrier australien

Llodra, guerre et paix

Mécontent de ses résultats, le Français a décidé de retrouver
la « grinta » tout en calmant ses nerfs.
Bingo ! le voici en quarts de finale.



L’ANNÉE DERNIÈRE, soyons sincères,
on a tous essayé de chanter
« Relax, take it eaaaaasyyy »,
comme le beau gosse libanais Mika.
On a tous frôlé le ridicule ; on doit
même être un certain nombre à
l’avoir atteint. Pas sûr que notre
Mika, Llodra, puisse attraper, lui aussi,
les notes suraiguës de ce tube
groovy. Mais il ne renierait pas ce
refrain, pas aujourd’hui qu’il a mis
son nom en face d’un des quarts de
finale à Adélaïde. Cette chanson, il
aurait pu se l’écrire. Michaël Llodra
avait grand besoin de trouver un
antidote contre sa tendance au suicide
tennistique. « Il pouvait s’autodétruire,
admet son coach, Olivier
Malcor. Se bousiller un match tout
seul. »
Comme la franchise ne lui fait pas
peur, Llodra n’a jamais esquivé le
problème : « Je sais très bien la réputation
que j’avais dans les vestiaires.
Pour les autres, j’étais le gars talentueux
qui allait craquer connement.
Celui qui va s’énerver et qui ne saura
pas relever la tête. »
Combien de matches, ne serait-ce
que l’année dernière, a-t-il cochonnés
à cause de ce fichu penchant ? « Pas loin de la moitié », sourit Llodra.
Bilan : pendant presque tout le
second semestre, il a eu le ventre
vide. Il y a aussi eu, pour ne rien
arranger, les visites désagréables
des blessures. Tout mis bout à bout,
entre son troisième tour à Roland-
Garros, belle perf, d’autant qu’il
dérouilla Almagro en chemin, et
l’année nouvelle, Llodra ne dépassa
jamais un deuxième tour. Il fallait
que quelque chose se passe.
« Je n’ai pas
bronché »
C’est arrivé àMontréal, en août. Llodra
venait de perdre en qualifs. Une
de plus. Celle de trop pour Olivier
Malcor, qui provoqua alors la discussion
salutaire. « On était dans le
salon des joueurs, Mika avait encore
le double à disputer mais, en voyant
ses entraînements, je ne le sentais
pas motivé. On a parlé deux heures
et demie sur un canapé et on est allés
au fond des choses. Je lui ai dit : “Soit
tu es content et tu estimes que tu as
déjà fait une belle carrière. OK, tu vas
encore gagner quelques tournois en
double et tu auras tes 500 000 euros
de prix à la fin de chaque saison. Soit
tu décides que tu en as marre d’être
90e mondial (il est 93e), tu prends des
risques et, moi, je t’assure qu’à la fin
tu n’auras pas de regrets. Quoi que tu
choisisses, je te suivrai. Mais, maintenant,
dis-moi. ” »
Le discours a eu immédiatement sa
première vertu : il a touché la corde
sensible. « À vingt-sept ans, dit
aujourd’hui Llodra, si je veux faire de
beaux trucs, je n’ai plus le temps de
tourner autour. J’ai choisi l’option
no 2. » Dès lors, il fallait que, de
l’idée, il en vienne à l’acte. Et il y est
venu. En décembre, avec son nouveau
préparateur physique Vincent
Lamarque, le grand gaucher s’est fait
mal, très mal. « Je n’ai jamais rechigné
», appuie-t-il. Dernier juge : le
terrain. Lundi, contre Gilles Simon
(7-6, 6-3), hier, contre le cogneur
russe Evgueni Korolev (même score),
Llodra a eu des prétextes tout faits
pour dégoupiller. Jamais il n’a cédé à
la tentation.
Hier, quand Korolev mena 15-40 à
5-5 dans le premier set, on le vit au
bord de faire sa fête à sa raquette. Il
se retint, aligna un service gagnant
et trois aces avant de produire un tiebreak
aux petits oignons. « Quand
ça m’a chauffé, j’ai repensé à ces
moments difficiles à l’entraînement.
J’ai aussi pensé à toutes ces nuits où
je n’ai pas dormi avec ma femme
parce qu’avec notre petit bébé (Téo,
trois mois), on doit se lever pour les
biberons. Et moi, si je voulais supporter
le travail qui m’attendait le lendemain,
je savais que j’avais besoin de
nuits complètes. Ce ne sont pas des
petits sacrifices. C’est dur aussi
quand Manon (sa fille aînée) me
réclame au téléphone. Alors, ça ne
doit pas être pour rien. »
Adélaïde, quoi que lui réserve son
quart de finale, demain, contre
l’Allemand Benjamin Becker, ne sera
pas rien. En trois jours cette saison, il
a déjà égalé son pic de 2007 (quart
de finale à Zagreb). « Je me trouve
meilleur aujourd’hui qu’en 2004
(l’année de son seul titre, à ’s-Hertogenbosch,
l’année où il était entré
dans le top 40). Le truc, c’est qu’en
2004, je me battais comme un chien.
Hier, je n’avais pas de super sensations
mais, dans la tête, je n’ai pas
bronché. » Relax, take it eaaaaasyyy…
FRÉDÉRIC BERNÈS



Mathieu du bon côté

CE CHRIS GUCCIONE, du haut de ses 201 centimètres,
est un drôle d’oiseau et son service est une
plaie terrifiante. Mais Paul-Henri Mathieu, à force de
patience, a « servécu » (4-6, 6-3, 6-4). Le numéro 2
français avait pourtant la tête comme un tambour
après un premier set où l’Australien ne perdit que trois
points sur ses engagements (chacun dans des jeux dif-férents). Quand Guccione, finaliste ici même l’an dernier,
servit à 5-4, ce fut même un sketch : ace-service
gagnant-ace sur seconde balle-ace. « Il n’y avait rien à
faire, reconnut Mathieu, qui vit défiler 24 aces hier.
J’essayais de lire son lancer, mais ça ne donnait rien. Je
jouais à la devinette : un coup j’anticipais à gauche, un
autre à droite. » À 1-1, 0-30 au deuxième set, Mathieu
finit par s’énerver pour de bon, récolta un avertissement,
mais sut se reprendre. « S’il me breake là, c’est
quasi foutu. Ensuite, j’ai pu, sur un jeu au deuxième set
puis un autre au troisième, retourner enfin et le breaker.
Et j’ai terminé le match en servant moi-même très
bien. »Demain, en quarts de finale, « PHM » affrontera
Joseph Sirianni. C’est un autre Australien, mais, pas
de panique, son service n’a rien à voir avec celui de
Guccione. – F. Be.

Aldous a écrit:

Tsonga a bien tenu le coup.J'attends de voir ce qu'il va donner contre Hewitt.J'ai toujours pensé que le Français surfait sur la vague de la nouveauté et qu'il allait vite finir par être dépassé dans les mois qui suivaient ses belles performences.Finalement, j'aimerais bien le revoir épingler Hewitt.

Oui je suis assez d'accord avec cette analyse pour ce qui est de Tsonga. Après, on se trompe peut-être.

Pour ce qui est d'Hewitt, il a raison de chauffer l'ambiance comme ça surtout face à des femmelettes comme PHM. Moi je suis pour revoir des attitudes à la Connors-McEnroe-Lendl sur le terrain et surtout voir cesser ces hypocrisies Federo-nadaliennes qui foutent en l'air l'aspect gladiateur de ce sport. Donc vas-y Hewitt, continue d'haranguer en conf de presse, c'est bon! En plus ça jouera si il croise M. Sechie dessus Mathieu en finale.

vdd a écrit:

C'est quoi ces histoires de TC Cup

Pour ma team Paella j'ai 6 très bons joueurs, mais j'en avais que 2 en course cette semaine et ils sont toujours là.

Eh bien voici le lien qui explique le principe du jeu

http://www.tenniscoach.be/eventsCup.php?chapter=1

Et ensuite dans ce lien ci dessous, le tableau des qualifs:

http://www.tenniscoach.be/eventsCup.php?chapter=3

vdd a écrit:

Aldous a écrit:

Tsonga a bien tenu le coup.J'attends de voir ce qu'il va donner contre Hewitt.J'ai toujours pensé que le Français surfait sur la vague de la nouveauté et qu'il allait vite finir par être dépassé dans les mois qui suivaient ses belles performences.Finalement, j'aimerais bien le revoir épingler Hewitt.

Oui je suis assez d'accord avec cette analyse pour ce qui est de Tsonga. Après, on se trompe peut-être.

Pour ce qui est d'Hewitt, il a raison de chauffer l'ambiance comme ça surtout face à des femmelettes comme PHM. Moi je suis pour revoir des attitudes à la Connors-McEnroe-Lendl sur le terrain et surtout voir cesser ces hypocrisies Federo-nadaliennes qui foutent en l'air l'aspect gladiateur de ce sport. Donc vas-y Hewitt, continue d'haranguer en conf de presse, c'est bon! En plus ça jouera si il croise M. Sechie dessus Mathieu en finale.

Ouais, je suis carrément d'accord avec ça.
J'espere une finale Hewitt/PHM avec une victoire de l'australien que je veux revoir au 1er plan cette année d'ailleurs.

vdd a écrit:

arabem a écrit:

Tsonga (Fra, 6) - Gulbis (Let) 6/3 6/2

J'ai les nerfs, j'avais le Letton dans mon tenniscoach. Intéressant le Tsonga-Hewitt. On va voir ce qu'il a dans le froc Hewitt.

Acasuso, qui a été top 20, c'est pour moi un autre client que Tsonga.
Sachant que Hewitt lui a collé 2 et 2, je serais vous, je ne fonderais pas trop d'espoirs sur le français.

Il a l'air chaud bouillant, l'Australien.
Il doit un peu comprendre qu'avec Roche à ses côtés, c'est la saison de la dernière chance.
S'il ne réintègre pas le top 20 maintenant, il ne le fera jamais.

mais acasuso en ce moment n'a pas le niveau de jeu qui lui a permit d'atteindre le top 20 tandis que tsonga se raproche de plus en plus d'un niveau de joueur top 20

Acasuso a marqué le pas suite à sa défaite en Coupe Davis en 2006. Nul ne sait quel niveau de jeu il a aujourd'hui.


:singe: PHM qui perd sur personne au tie-break du 3ème set. On retrouve notre PHM.