Rotterdam ATP 500

La pression, ça ne s'est pas vu lorsqu'il remonte 2 sets à Gasquet.

Et puis c'est un Scottish ! Les rosbeef de Windsor, il les emmerde.
C'est pas eux, qui vont le faire monter en pression.

Moi je dis qu'il a des chances à Wimbly comme à l'USO

Par contre, si il s'impose à RG avec son lift mou... c'est la fin des temps qui arrive.

zoelafee a écrit:

Allez babou, respire, c'est pas grave, c'était pas méchant ce que disait kid, et dans le fond je suis d'accord avec lui alors que je suis une des premières défenseuses de Nadal

ça lui apprendra à être tout le temps gentil, il a qu'à envoyer chier le monde lui aussi, et penser à sa gueule, arrêter de faire le bonhomme sans reproches et privilégier sa santé..... C'était très con d'aller à Rotterdam on l'a TOUS dit, et donc quelque part ça lui apprendra à pas écouter son corps... ("ça lui apprendra" ça passe mieux que "c'est bien fait pour sa gueule" )

Enfin bon, c'est pas bien grave, il va s'en remettre, il a juste besoin d'un peu de repos là, mais qu'il le prenne SERIEUSEMENT!!!

oui je sais que c'était pas méchant, mais sur le coup, moi j'étais aux 400 coups de le voir sur une jambe alors je l'ai mal pris
Je viens de lire qu'il prévoyait de jouer Dubaï semble-t-il, c'est que ça doit pas être trop grave. Par contre ça me fait flipper parce qu'avec le calendrier hyper chargé de cette année, va bien falloir qu'il fasse l'impasse sur un tournoi un de ces quatres, et avec Fed qui vient déjà pas à MC, j'espère que Rafa ne fera pas pareil La seule fois dans la saison où je peux le voir, ça me foutrait vraiment les boules qu'il ne vienne pas

Au suivant !



Vainqueur en deux sets d’un Gaël Monfils diminué (6-4, 6-4), Rafael Nadal
s’attaque en finale à Andy Murray.
ROTTERDAM – (HOL)
de notre envoyé spécial
GUÈRE ÉPARGNÉ PAR les coups du sort
depuis quelques années, Richard Krajicek,
directeur du tournoi, avait hier soir le sourire
jusqu’aux oreilles. Mais oui, tout arrive, et il a
enfin droit à la finale de ses rêves, celle qui
oppose les têtes de série extrêmes du tableau
(la première à Rotterdam depuis Connors-
Lendl, en 1984). À sa gauche Rafael Nadal, le
numéro1 du tennis.Àsa droite Andy Murray, 4e
mondial. Soit les deux meilleurs joueurs du
début de saison. Depuis le 1er janvier, l’un et
l’autre n’ont connu qu’une fois la défaite : à
Doha, pour l’Espagnol (Monfils) ; à l’Open
d’Australie, pour l’Écossais (Verdasco).
Aujourd’hui, l’un des deux mordra la poussière
pour la deuxième fois.
Hier soir, Nadal a mis fin au parcours de Gaël
Monfils (6-4, 6-4). Mais d’un Gaël Monfils diminué
par une gastro-entérite. La veille, le Français
avait déjà connu de graves problèmes face
à Julien Benneteau, aupoint de monopoliser les
toilettes à la fin du premier set, puis, plus longuement,
à la fin du match. Hier, il dut une nouvelle
fois quitter le court à la va-vite, là encore à
la fin de la première manche. Il y retrouva…
Nadal, lui-même occupé à uriner. « Quand j’ai
levé la tête après avoir vomi, j’ai vuque Rafame
regardait, raconta ensuite Monfils. Il a été
vachement sympa et m’a demandé comment
j’allais. Je lui ai dit que j’allais essayé de tout
donner… Franchement, dans ce match, j’ai
repoussé mes limites. Mais j’étais trop affaibli
pour réussir un exploit. »
Ce contexte particulier et cette rencontre inopinée
aux w-c expliquent en grande partie le
caractère chaotique de la rencontre. Sur une
surface aussi rapide que celle utilisée à Rotterdam,
il semble inconcevable que six des huit
premiers jeux de service aient donné lieu à un break ou à des menaces de break. Mais le
niveau de jeu n’avait rien à voir avec celui proposé
la veille par Nadal et Tsonga. On eut bien
sûr droit à quelques rallyes homériques, où
Monfils étala une nouvelle fois son physique
d’homme-élastique, mais la partie manquait de
continuité. Breaké lors du cinquième jeu du
deuxième set, le Français se procura pourtant
deux fois deux balles de break. L’Espagnol claqua
quatre points gagnants. À 5-4, il gagna
blanc son dernier jeu de service. Il le qualifiait
pour la troisième finale en indoor de sa carrière,
après Madrid 2005 et Bercy 2007.
« Je pensais plus
à Gaël qu’à moi »
« Je ne sais pas trop quoi vous dire, reconnut le
numéro1mondial. La vérité, c’estque c’étaitun
match étrange. Gaël avait ses problèmes
d’estomac. Moi, j’ai l’impression de ne pas
avoir bien joué. Ou plutôt : j’ai l’impression de
ne pas avoir joué du tout. Je pensais plus àGaël
qu’à moi. Je ne savais pas s’il allait abandonner.
C’était super dur de garder sa concentration.
Mais, bon, j’ai gagné… » Comme toujours,
Nadal raisonne en pragmatique : « Me retrouver
en finale est un très bon résultat pour moi.
Déjà, ça veut dire minimum 300 points ATP ; et
puis, je suis arrivé là avec une préparation minimale.
Ça signifie que mon tennis est toujours
là. »
L’Espagnol affrontera donc en finale Andy Murray,
qui l’avait battu en début de saison lors
d’une exhibition à Abu Dhabi. Malgré une douleur
au pied droit apparue vendredi, une demiheure
après son quart de finale, l’Écossais a
totalement démantibulé le jeu d’attaque de
Mario Ancic. Écrasé 6-1, 6-2 en une heure et
une minute, le Croate n’en croyait pas son bras :
45 % seulement de points gagnés sur son premier
service, des fautes directes en revers à la
pelle et surtout un seul et malheureux ace à se
mettre sous la dent. « Un seul ace ? Ça n’a pas
dû m’arriver depuis les juniors…, soupira-t-il.
Ce match, je l’ai déjà oublié. » Quant àMurray,
dont le débit monocorde s’accorde décidément
mal avec l’infinie variété de son jeu, il fait
l’admiration de Nadal. « Il joue incroyablement
bien depuis le dernier Wimbledon, dit l’Espagnol.
Il m’a battu en demi-finale du dernier US
Open mais je trouve que, depuis, il évolue
encore à un niveau supérieur. Ce n’est pas compliqué
: si je veux gagner, il va falloir que je sois
à mon top. Je n’ai pas fait que des matches
impeccables ici, loin de là. Mais, contre Tsonga,
quand il a fallu répondre à son niveau de jeu par
un niveau de jeu encore supérieur, j’ai répondu
présent. Physiquement, je suis prêt. Ça devrait
être une grande finale. » Elle livrera en tout cas
un vainqueur inédit : jamais un Espagnol ou un
Britannique n’a encore remporté le tournoi.
VINCENT COGNET

Source: l'equipe

Tuco Benedicto Pacifico a écrit:

La pression, ça ne s'est pas vu lorsqu'il remonte 2 sets à Gasquet.

Et puis c'est un Scottish ! Les rosbeef de Windsor, il les emmerde.
C'est pas eux, qui vont le faire monter en pression.

Moi je dis qu'il a des chances à Wimbly comme à l'USO

Par contre, si il s'impose à RG avec son lift mou... c'est la fin des temps qui arrive.

Sincèrement, avec son jeu bizarre, il devrait en plus être dangereux à Roland. Pas au point de prétendre au titre. Mais il peut viser le quart tranquilou.

Enfin tout ça, ça enlève de la pression des épaules de Djokovic, qui en attendant reste très très fort et peut aller voler n'importe quel chelem comme il a volé le masters, quand tout le monde attendait Murray.

Sincèrement, cette saison est passionnante.
4 vainqueurs potentiels sérieux pour chaque grand chelem, des français enfin au top.

Ce sera aussi la saison de la fin pour la vieille garde. Safin, Hewitt, Ferrero vont être définitivement remisés aux archives.

Mais quel pied le tennis en ce moment.

claire19 a écrit:

sauf que je le vois pas remporter Roland Garros . Quant à Wimbledon, avec la pression, je pense pas qu'il y arrive . Sa seule chance de gagner un grand chelem cette année, c'est à l'USO . Et qui dit que sa forme dans 8 mois sera la même que maintenant ?
Je ne le vois aps gagner de grand chelem cette année .

Bon Rg, ça semble hors de propos, c'est clair. Mais il peut faire un truc à l'Uso et à Wimbledon, je suis plutôt de l'avis de Tuco.
Cela dit, on l'a vu à l'Ao, évitons de le mettre favori, ça ne lui porte pas chance.