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 Biographie de Connors

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MessageSujet: Biographie de Connors   Biographie de Connors I_icon_minitimeMar 28 Nov - 15:25

Jimmy Connors (né le 2 septembre 1952 à Belleville, Illinois) était un joueur de tennis professionnel des États-Unis de 1972 à 1992. Il fut numéro un mondial et remporta 8 titres du Grand chelem. Il est actuellement l'entraîneur d'Andy Roddick

Carrière 1972-1996

Style de jeu

Né en 1952 dans l'Illinois, Jimmy Connors est resté professionnel durant un quart de siècle, ce que seul Ken Rosewall, sa victime quadragénaire en finale de Wimbledon et de l'US Open 1974, fut capable de réaliser avant lui. En plus d'une forte combativité, le jeu de ce gaucher était construit autour de son revers. Son coup droit en conséquence fut souvent son point faible, flottant et imprécis. Mais pour avoir l'opportunité de viser son coup droit de gaucher, il fallait déjà parvenir à contenir l'immense agressivité de fond de court de son revers à deux mains.

Ce geste, aujourd'hui si répandu chez les joueurs professionnels (Ievgueni Kafelnikov, Andre Agassi, Marat Safin entre autres) était dans les années 70 encore relativement peu fréquent. Et c'est Connors qui le démocratisa en en faisant un usage immodéré. La longueur exceptionnelle de sa carrière en fit un joueur extrêmement populaire aux Etats-Unis. Cependant, Connors passa par plusieurs phases dans le public américain. Haï dans les années 70 jusqu'à l'arrivée de John McEnroe qui monopolisera les rancunes du public au tournant des années 80, Connors gagna du respect en même temps qu'il gagnait en âge.

L'arrogance de sa jeunesse devint une combativité respectée puis admirée par les Américains, mais aussi par les Européens : un de ses derniers matches marqua les esprits du public français. En 1/16e de finale de Roland-Garros 1991 face à Michael Chang, Connors lutta durant plus de 3 heures, ne cédant que par abandon au 5e set, non sans avoir remporté la 4e manche et le premier point de la 5e sur une attaque de revers.

Les débuts

Connors devint pro en 1972. Rapidement, il s'imposa comme un des grands espoirs américains avec Solomon et Tanner. Durant deux saisons, il parvint à s'emparer de 17 titres professionnels, atteignant les quarts de Wimbledon 72 et 73, ainsi que ceux de l'US Open 73. Il intégra ainsi les cinq premières places mondiales du classement par ordinateur.

Le petit chelem de 1974 : Connors sur le toit du monde

Alors qu'il commençait à faire sa place dans le paysage du tennis mondial en 1973, il franchit un cap l'année suivante, triomphant de la génération précédente (dont Ilie Năstase et Stan Smith) en réalisant le petit chelem, exploit rarissime durant l'ère open (réalisé par Mats Wilander en 1988 et Roger Federer en 2004 et 2006). Il emporta d'abord l'Australian en battant Phil Dent, le père de l'actuel joueur américain Taylor Dent. Il ne disputa pas Roland-Garros. En effet, à l'époque, les professionnels américains préféraient jouer des exhibitions lucratives (un championnat intervilles américain notamment) peu avant le tournoi et hésitaient parfois à faire le déplacement parisien. En réaction, Philippe Chatrier, alors président de la FFT bannit du tournoi l'ensemble des joueurs de ces intervilles, dont Connors.

Néanmoins, cela n'empêcha pas l'américain d'enchaîner sur des victoires à Wimbledon et à l'US Open, bouclant par ailleurs la meilleure saison de sa carrière. En finale de ces deux tournois, il triompha de l'australien, Ken Rosewall, âgé de 40 ans, qu'il égalerait en longévité 17 ans plus tard...

1975-1978 : le duel face à Borg

Désormais numéro un mondial, Connors passerait les prochaines années à lutter contre le suédois Björn Borg, joueur suédois de 18 ans qui l'avait emporté à Roland-Garros 1974.

L'année 1975 fut difficile pour Connors qui perdit ses 3 titres du grand chelem en finale, vaincu par John Newcombe en Australie (il ne rejouera plus jamais ce tournoi), par le noir américain Arthur Ashe, 33 ans, en finale de Wimbledon, puis par l'Espagnol Manuel Orantes en finale d'un US Open passé pour 3 éditions (1975, 1976 et 1977) sur hard-tru nom de la terre battue américaine.

Il demeura néanmoins numéro 1 mondial, ne disputant ni l'Australian, ni Roland-Garros l'année suivante. Vaincu en 1/4 de Wimbledon par un compatriote et redoutable serveur, Roscoe Tanner, il battit Borg en finale de l'US Open (6-4/3-6/7-6(11-9)/6-4. Les deux hommes se partageaient les titres : Borg l'emportait à Wimbledon, Connors à l'US Open, s'affrontant souvent en finale de divers "gros" tournois.

En 1977, toujours numéro 1 mondial, il céda lors de deux finales. Face à Borg lors d'une homérique lutte de 5 sets (6-3/2-6/1-6/7-5/4-6, revenant de 0-4 à 4-4 (15/0) dans le cinquième set, puis fit une double faute et s'effondra multipliant alors les fautes directes face à un Borg imperturbable). Aussi face à l'Argentin Guillermo Vilas récent vainqueur de Roland Garros, dans un match qu'il cru avoir à sa main ayant de multiples occasions de mener deux sets à un, craquant complétement dès lors, face à un Vilas aussi solide imperturbable et impitoyable que l'avait été Borg deux mois plus tôt. A cette occasion, le public assista à un déroulement de fin de match inédit ; sur une balle de match - Connors venait d'en sauver plusieurs - une approche de coup droit de Connors fut jugée ligne, puis faute… Le public envahissant le central rendit impossible toute contestation, portant bientôt l'Argentin en triomphe ; un des spectateurs ayant envahi le terrain allant même provoquer Connors qui le reçu d'un coup de poing. Ces émotions passées, l'Américain emporta son unique Masters en janv 78, à New York, battant Borg en finale (6-4/1-6/6-4), lui-même ayant battu Vilas (6-3/6-3) en demi-finale, adversaire qu'il s'était choisi en déclarant forfait dans son dernier match "de pool", afin d'éviter d'affronter l'Américain à ce stade de la compétition, là où Vilas avait lui battu Connors en Pool (6-4/3-6/7-5).

Il retrouva Borg l'année suivante en finale de Wimbledon, qu'il perdit (6-2/6-2/6-3), trouvant face à lui un joueur métamorphosé qui attaqua sans relache, montant, volleyant, et servant avec un à propos désarçonnant auquel il ne sut déjà psychologiquemt répondre. Passé ce nouveau traumatisme, la finale de Flushing Meadows fut l'occasion pour lui d'une vivifiante revanche. Le nouveau stade où se tenait l'US Open, Flushing Meadows dans le "borough" du Queens, avait choisi le ciment américain ("Déco Turf2"), surface au rebond plus franc, plus haut, parfaitement adapté au jeu de l'Américain, lui fut lieu de rennaissance, il triompha 6-4/6-2/6-2, donnant là éclatante démonstration d'agressivité maîtrisée, face à un Borg pourtant très affuté malgré une blessure au pouce. Ce match est, malgré l'apparente sécheresse du score, un des meilleurs qu'ils aient partagés, car même si dès le début du second set les déroulement et dénouemenent semblèrent inéluctables, le Suédois donna superbe réplique à son bourreau du jour. En demi finale, Connors avait encore écarté son jeune compatriote Mac Enroe en demi-finale (6-3/6-2/7-5), comme l'avait fait à Wimbledon un an et demi plus tôt.

A la toute fin de l'année 1978, la carrière de Connors ralentit, du fait de l'arrivée au plus haut niveau d'un nouveau rival, son compatriote serveur-volleyeur John McEnroe et surtout du fait qu'un changement radical survint dans sa vie affective. En effet, loin de toute famille, il se maria à Tokyo avec une playmate américaine dont il eut un enfant (Brett) dès les mois suivants. L'aggressivité de son jeu s'en trouva conséquemment émoussée au moment où Borg devenait de plus en plus fort physiquement et où Mac trouva enfin sa vitesse de croisière et se convainquit pleinement de son aptitude à s'immiscer entre eux.


Dernière édition par le Mar 28 Nov - 15:28, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Biographie de Connors   Biographie de Connors I_icon_minitimeMar 28 Nov - 15:26

Le déclin?

Lors des saisons 1979 à 1981, Connors n'atteignit pas une seule finale du grand chelem, et remporta de moins en moins de titres professionnels. Il était battu constamment par McEnroe et Borg en grand chelem. Il revint à Roland-Garros en 1979, pour la première fois depuis 1973. C'était le seul grand titre qui lui manquait. Il échoua face au paraguayen Victor Pecci en demi-finales 1979, face à l'américain Vitas Gerulaitis en demi-finales 1980 et face à l'argentin Jose-Luis Clerc en quarts de finale 1981, étant à cette unique occasion à quelques points de la victoire dans le quatrième set. Des regrets il put en avoir cette année, puisque son adversaire suivant aurait dû être Ivan Lendl, joueur qu'il avait implacablement dominé jusque là. De plus le jeu de Connors s'accommodait mal d'une terre battue humide et lourde telle celle qu'il eut à fouler contre Clerc, là où dès le lendemain, le beau temps allait s'installer et les échanges s'accélérer… Il manqua ainsi sa dernière chance de défier Borg sur ses terres parisiennes, dans la finale la plus espérée de l'époque.

Il semblait alors décliner, idée accentuée par ses trois défaites successives en demi-finales de Wimbledon en 1979, 1980 et 1981 face à Borg et McEnroe. Descendu à la troisième place mondiale, il échoua également en demi-finales de l'US Open des années-là. Parfois, ses éliminations furent sévères, comme à Wimbledon 1979 (victoire de Borg 6-2, 6-3, 6-2) ou à l'US Open 1981 (Borg 6-2, 7-5, 6-4), partie où il mena toutefois 4-1 au second set, obtenant même plusieurs balles de 5-1, avec service à suivre. Borg servit à cette occasion une pluie d'aces qui semblèrent casser le moral de l'Américain.

Il pouvait cependant encore menacer ses rivaux. En demi-finale de Wimbledon 1981, Borg ne l'emporta que 0-6, 4-6, 6-3, 6-0, 6-4. À l'US Open 1980, il fallut attendre le tie-break du 5e set pour que McEnroe parvienne à l'éliminer 6-4, 5-7, 0-6, 6-3, 7-6. De même aux Masters de janv 80 et 81, il fut deux fois proche d'un succès face à Borg (6-3, 3-6, 6-7 et 4-6, 7-6, 3-6).

Le retour au premier plan

Borg partit à la retraite en septembre 1981. Connors était désormais en face à face avec McEnroe. Il lui reprit la première place mondiale en 1982 à la faveur de victoires à Wimbledon (où il le battit en finale 3-6, 6-3, 6-7, 7-6, 6-4) et à l'US Open (face à Ivan Lendl). L'année suivante, il gagna son dernier titre du grand chelem, à 31 ans à l'US Open face à Lendl.

Malgré son âge, il demeura dans les dix meilleurs joueurs du monde jusqu'en 1989. Il ne parvint pas à gagner Roland-Garros (demi-finaliste en 1984 et 1985, quart de finaliste en 1982, 1983 et 1987). Il ne rejoua pas l'Open d'Australie, même après que celui-ci se fut réinstallé en janvier après une décennie durant laquelle il était disputé à Noël. Il parvint néanmoins à revivre l'excitation d'une finale de Wimbledon en 1984 (perdue 6-1, 6-1, 6-2 face à un Mc Enroe cette année là au sommet de son art, toutefois après une superbe victoire sur Lendl), aussi celle de réussir à presque 35 ans la plus belle remontée de l'histoire de Wimbledon (de 1-6, 1-6, 1-4… face au Suédois Michael Penrfors) ne cédant plus qu'en demi finale face au futur vainqueur (l'Australien Pat Cash), aussi des demi-finales aux US Open 1984 (réalisant au passage un des plus beaux matchs de l'histoire, ferraillant cinq sets avec un McEnroe, cette année là pourtant intouchable sur surface rapide, son rival n'y perdant qu'un seul match de toute la saison...) et 1985 (sombrant pour la première fois face à Lendl en grand chelem sur surface rapide, il est vrai à 33 ans révolus).

L'arrivé de joueurs plus jeunes que lui, comme le suédois Stefan Edberg, l'allemand Boris Becker ou son compatriote Andre Agassi provoqua son lent recul de la hiérarchie mondiale. Il continua néanmoins à jouer et à gagner quelques titres professionnels (2 en 1988, 2 en 1989, battant à l'occasion - US Open 89 et à 37 ans - le numéro deux mondial, Stefan Edberg, en ne lui abandonnant que six jeux en trois sets ! ). Encore quart de finaliste face à Agassi aux US Open 1988 (pour la première fois - à 37 ans - dépassé par un joueur plus vif et rapide que lui) et 1989 (faisant cette fois jeu égal avec le Kid de Las Vegas, de 18ans son cadet...), il sembla se retirer en 1990, n'obtenant cette saison d'absence pour seul résultat qu'une défaite au premier tour (face à Agenor qu'il retrouverait victorieusement lors d'un mémorable second tour du Roland Garros de l'année suivante) du tournoi de Toulouse, dont il était le double tenant du titre (88 et 89, titres acquis face à Chesnokov puis… McEnroe). Il sembla perdu pour le jeu. En effet, depuis des mois son poignet gauche le faisait souffrir, quelques temps plus tard, la chirurgie allait le reconstituer, lui laissant néanmoins peu d'espoir d'en refaire l'intensif usage que sa carrière avait nécessité.

Dernier retour

Il revint cependant en 1991 au plus haut niveau. À 39 ans, alors qu'il était classé au-delà de la 100e place mondiale, il poussa Michael Chang aux cinq sets en 1/16e de finale Roland-Garros et élimina son compatriote Aaron Krickstein à Wimbledon. L'organisation de l'US Open lui accorda une invitation.

Il atteignit les demi-finales du tournoi, après quelques matches restés dans la mémoire collective américaine : face à Patrick McEnroe, le frère de John battu 4-6, 6-7, 6-4, 6-2, 6-4, et face à Aaron Krickstein alors 6e joueur mondial et ancien demi-finaliste du tournoi, qui mena pourtant 5-2 dans la dernière manche. Son parcours s'achèva en demi-finales face à Jim Courier, en trois sets.

Après cette saison, Connors fit une dernière tournée d'adieux, plus discrète, pauvre cette fois en victoires tonitruantes, en 1992, fêtant tout de même sur le court son quarantième anniversaire et son 22e US Open (record) par une victoire probante (6-1/6-2/6-3) sur le brésilien Jaime Oncins au premier tour. Ce fut son dernier match gagné en grand chelem, Lendl prenant un patient plaisir à l'user jusqu'à la corde au tour suivant, ne lui laissant plus gagner un jeu au quatrième et dernier set, vengeant le 6-0 que lui avait infligé l'Américain en la finale de 83.

Il rejoua encore quelques matches sur le circuit les années suivantes. Il atteignit ainsi les quarts de finale du tournoi de Halle en 1995. Il disputa son dernier match à Atlanta en 1996.

Il joua ensuite quelques années dans le senior tour, dont il avait été à l'initiative de la création, terminant en tête des six premières éditions, battant à nouveau Borg et Mac bien plus souvent qu'à son tour.

JC abandonna définitivement la compétition en l'an 2000.

Palmarès

109 titres emportés (record) dont:

1 Open d'Australie en 1974 (1 finale perdue en 1975)

4 demi-finales à Roland-Garros en 1979, 1980, 1984 et 1985

2 Wimbledon en 1974 et 1982 (4 finales perdues en 1975, 1977, 1978 et 1984)

5 US Open en 1974, 1976, 1978, 1982 et 1983 (2 finales perdues 1975, 1977)

1 Masters en 1977 (5 demi-finales 1979, 1980, 1982, 1984 et 1985)

1 finale perdue de Coupe Davis en 1984 (la seule édition qu'il ait disputée, hormis sa défaite de 1976 face à Ramirez et ses deux victoires de juillet 81, face à Smid et Lendl)

Il est le joueur qui a disputé le plus d'US Open consécutifs (22), celui qui a enchaîné le plus de saison classées à l'ordinateur (1973-1996), le 3e plus long règne de l'histoire à la première place mondiale (derrière Sampras et Lendl).

Il occupa la première place mondiale durant 268 semaines, 2 de moins que Lendl, dispose toujours du record de semaines consécutives à la première place (159, record qui sera très certainement battu par Federer en 2007) et termina 5 saisons consécutives à ce rang (record battu par Pete Sampras en 1998).

En outre il a gagné d'autres grands tournois : Cincinnati en 1972, Los Angeles en 1973, 1974 et 1982, le Masters de la WCT (organisation concurrente du Grand Prix de l'ITF) en 1977 et 1980, Philadelphie en 1976, 1978, 1979 et 1980, le premier tournoi professionnel disputé en Chine à Canton 1980 et Boca West (le futur Masters de Miami) en 1984.

Enfin, il détient toujours le record du nombre de victoires en simple sur le circuit ATP : 1 222 matches gagnés.
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MessageSujet: Re: Biographie de Connors   Biographie de Connors I_icon_minitimeVen 31 Aoû - 14:47

1/2 finale de l'US Open 77 entre Connors et Barazzutti, sur har-tru (terre battue américaine rapide).

Un échange... Connors met la balle dehors... regardez ce qui suit, c'est hallucinant! affraid

https://www.youtube.com/watch?v=ceB4ZpeJPao
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MessageSujet: Re: Biographie de Connors   Biographie de Connors I_icon_minitimeVen 31 Aoû - 15:18

colin a écrit:
1/2 finale de l'US Open 77 entre Connors et Barazzutti, sur har-tru (terre battue américaine rapide).

Un échange... Connors met la balle dehors... regardez ce qui suit, c'est hallucinant! affraid

https://www.youtube.com/watch?v=ceB4ZpeJPao

:roule: :roule: :roule:

Enorme!!!!!

Et dire que david est fan de ce joueur... Biographie de Connors 2293482636 Suspect scratch :mdr: :mdr:
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MessageSujet: Re: Biographie de Connors   Biographie de Connors I_icon_minitime

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