LYON

faipalgugus a écrit:

Si Riri arrive en demis à Lyon (Qualifié/Tsonga/Fish) et que Berdych n'arrive pas en demis à Bâle (il a un tableau difficile avec Lopez/Wawrinka ou Nalbandian/Karlovic ou Blake), il devrait selon toute vraissemblance passer 8e à la Race avant Bercy

Là t'exagères! Blake, Ljubicic ou même Cañas peuvent très bien lui gratter la place...

Peut-être même les 3, qui sait? :biggrin:

Gasquet n'est pas encore sur le court...
Moi on m'a dit dans dans l'oreillette qu'il ne jouerai pas...

colin a écrit:

faipalgugus a écrit:

Si Riri arrive en demis à Lyon (Qualifié/Tsonga/Fish) et que Berdych n'arrive pas en demis à Bâle (il a un tableau difficile avec Lopez/Wawrinka ou Nalbandian/Karlovic ou Blake), il devrait selon toute vraissemblance passer 8e à la Race avant Bercy

Là t'exagères! Blake, Ljubicic ou même Cañas peuvent très bien lui gratter la place...

Peut-être même les 3, qui sait? :biggrin:

Blake éliminerait Nalbandian puis Federer en demi?

Nalbide dégagera sur Wawrinka et Blake sur Karlovic. Mais si il y a un Blake-Nalbide, je donne Blake car Nalbide en chaînera pas. Par contre celui qui sort Federer je l'embrasse.

mais riri a encore un bobo, aux genoux va t'il tenter sa chance au moins ??

ALors il a fait quoi Riri ?

Pour ceux qui habitent dans la région Lyonnaise, le tournois est diffusé sur TLM, là y'a le match de Bennetau...

Babou a écrit:

ALors il a fait quoi Riri ?

Oui, il joue quand???!!!! Demain???

vdd a écrit:

Tommy Haas forfait.


Il a la chiasse. Véridique.
Les Allemands ont eux aussi leur Gasquet. :mdr:

A part ça, il a vraiment pas de bol. L'année dernière aussi, il avait dû abandonner en demies à Bercy.

TENNIS.

Les joueurs inscrits cette
semaine au tournoi ATP de Lyon se
partageront 680 250 euros. Une
somme malgré tout insuffisante
pour attirer les meilleurs joueurs du
circuit. Paul-Henri Mathieu aurait
ainsi préféré au dernier moment se
rendre à Bâle, faute d’obtenir une
garantie financière suffisante à
Lyon. Directeur du tournoi lyonnais,
Gilles Moretton (photo cicontre)
réfute cette thèse. « Tout le
monde ne peut pas avoir tous les
joueurs, précise-t-il. Je suis humble
et réaliste, je n’ai besoin que de
deuxoutrois joueurs du top 10. »


Mathieu a préféré Bâle

PAUL-HENRI MATHIEU, numéro 2 français, à Bâle plutôt
qu’à Lyon ? L’absence peut étonner. Àmots couverts, Gilles
Moretton, le patron du tournoi lyonnais, suggère que
l’argent a joué un rôle dans l’affaire.
L’agent de Paul-Henri Mathieu, Giorgio Brasero, préfère une
autre explication : « Il n’y a aucune raison financière dans ce
choix, et aucun souci ni malentendu avec M. Moretton. La
preuve : il a accordé une wild-card à Thierry Ascione, dont je
suis aussi l’agent.Necherchez pas de problème là où il n’y en
a pas. Si Paul-Henri a choisi Bâle, c’est parce qu’il avait des
choses à faire en Suisse, d’ordre personnel, et qu’il a également
souhaité voir ses parents qui habitent tout près, à
Strasbourg. »
Parmi les absents français, on remarque aussi Gaël Monfils,
toujours blessé au poignet, et Florent Serra, qui court les
Challengers en Corée du Sud.




« Ici, il faut mouiller le maillot »


Ancien joueur, fondateur et directeur du Grand Prix de Lyon
depuis 1987, dirigeant influent dans le tennis comme dans le
basket en tant que président de l’ASVEL et du groupe Gones&
Sports,GillesMoretton estconnupoursoncaractère inflexible.
Il évoquelesbonnesrecettes et les limitesdeson épreuve,avec
la tendresse et la protection d’un père pour son enfant.


« DE QUELS MOYENS disposezvous
pour obtenir un plateau
tel que celui de cette année ?


– Ce sont les joueurs qui décidenten
fonction du calendrier et de la surface.
On peut leur donner tout
l’argent de la terre, à un moment de
la saison où ils n’ont pas envie de
jouer, ils ne viendront pas. Après ces
deux critères peuvent intervenir les
critères financiers

– On chuchote pourtant que
Paul-Henri Mathieu – seul
Français valide manquant ici –
aurait préféré aller à Bâle
parce qu’on lui proposait une
meilleure garantie financière
(*)…

– C’est faux !

– Comment incitez-vous,
alors, les Français à jouer chez
vous plutôt qu’ailleurs ?

– Les Français ont besoin de jouer
en France parce qu’ils obtiennent
plus de notoriété à Marseille ou à
Lyon qu’à Bombay. En revanche, il y
a un marché et l’on ne peut pas y
faire n’importe quoi. Si un joueur
français préfère aller jouer à l’étranger,
comme Santoro à Saint-Pétersbourg
une année, parce qu’il n’avait
pas de garantie financière ici, libre à
lui. Je ne peux pas avoir tous les meilleurs
joueurs du monde et tous les
Français en même temps. Mais
quand on regarde le palmarès du
Grand Prix de Lyon, il n’a rien à
envier à personne. Le tournoi n’a
jamais été aussi stable.

– Même avec la grande valse
du calendrier 2009 ?

– Il n’y aura pas de changement.
Nous aurons a priori la semaine
no 44. Ici, on sait qu’il y a des garanties
qui sont payées à des joueurs…

– Quels joueurs ? Quelles
sommes ? Quel pourcentage
par rapport au montant global
des prix (680 250 euros) ?

– C’est une somme d’argent qui
entre officiellement dans notre budget
mais que je ne veux pas rendre
publique. Ma philosophie est de distribuer
l’argent en fonction de l’évolution
du joueur dans le tournoi, et
non tout d’un seul coup, avant le premier
coup de raquette. Ici, il faut
mouiller le maillot.
« Il serait temps
de penser au confort
des spectateurs »

– La concurrence entre tournois
se joue-t-elle à celui qui
mettra le plus d’argent sur la
table ?


– Avec Bâle, c’est transparent. On
s’appelle tout le temps. Alors,
l’agent qui veut s’amuser à nous
monter les uns contre les autres fait,
àmon avis, une mauvaise opération.
Cette année, des agents pas très professionnels
ont voulu s’amuser à certaines
choses. À moyen terme, ils
vont perdre. Ce sont là de très mauvais
calculs. J’ai un caractère bien
trempé et ce que l’onmefait une fois,
on ne me le fait pas deux. Qui se fait
avoir au final ? Il n’y en a un qui se
fait avoir, et je sais qui c’est. Il
s’appelle Paul-Henri Mathieu (voir
ci-dessous).

– Vous choisissez vos participants
aussi en fonction de leur
personnalité ?


– Je ne choisis rien. C’est le joueur
qui choisit. En fonction de tas de
paramètres très différents : la surface
ou l’accueil à l’aéroport, la nourriture
dans le restaurant des
joueurs… Roddick a fait de Paris sa
priorité, donc il a besoin d’un tournoi
de préparation, donc il choisit Lyon.
Mais tout le monde ne peut pas avoir
tous les joueurs. Je suis humble et
réaliste, je n’ai besoin que de deux
ou trois joueurs du top 10. Il y a les
ticket sellers, les vendeurs de tickets
comme Roddick et Gasquet, et puis
ces joueurs attachants tels que
Robredo (sorti hier par Marc Gicquel,
voir par ailleurs), grand gentleman,
qui parle bien français, en course
pour leMasters. Ljubicic est un grand
monsieur, très aimé ici aussi, tout
comme Arnaud Clément, qui vit une
histoire d’amour avec le tournoi. On
recherche ça aussi, des anciens
qu’on a plaisir à retrouver.

– Sur quel critère le tournoi
sera-t-il jugé ?


– Le tournoi est jugé sur le nom de
son vainqueur. On ne maîtrise pas ce
paramètre. Si l’on était dans un sport
corrompu, on pourrait le faire. Là, on
est obligé de courir le risque. Il y a eu
des années Yaya Doumbia, des
années Söderling, et des années
Sampras, Noah ou McEnroe… C’est
le charme du tennis.

– Comment pouvez-vous faire
progresser votre tournoi ?

– En le dotant d’une infrastructure
adéquate. Nous n’avons pas d’outil
performant. Partout dans le monde
se construisent des grandes salles
modernes. La nôtre (le palais des
sports de Gerland) date de 1962. Les
sièges du deuxième et troisième
niveaux sont en ferraille, penchés
vers l’avant comme dans les années
1960. J’espère avoir bientôt une
salle digne de ce nom, c’est un projet
en cours, pour lequel je me bats
depuis quatre ans. Alors, on pourra
enfin se préoccuper du grand public
qu’à mon avis, on ne respecte pas
assez. On leur vend un billet et on
leur dit : “Prenez ce qu’on vous
donne, et surtout ne demandez
rien !” C’est une honte ! Il serait
temps de penser au confort des
spectateurs. »
DOMINIQUE BONNOT

Le retour du «National »

NOSTALGIQUES DE L’ÉPOQUE où le Championnat de France avait une signification,
Gilles Moretton, Jean-François Caujolle et Jean-Louis Haillet (ancien
joueur de Coupe Davis, consultant tennis pour le groupe Canal) ont décidé de
lancerun « événement franco-français »réunissant en fin d’année, sur courts couverts,
les meilleurs Français à l’issue des quatre tournois ATP indoor se déroulant
en France : Marseille, Metz, Lyon, Paris-Bercy. « C’est avant tout une histoire de
potes, explique Moretton, directeur des tournois de Metz et Lyon, tandis que Caujolle
dirige l’Open 13 et Bercy. Nous avons eu envie de créer une épreuve visant à
renforcer les tournois ATP indoor français. » Après consultation, notamment
auprès des joueurs, de Patrice Hagelauer (Team Lagardère) et avec l’aval de la
Fédération, les trois nouveaux organisateurs ont trouvé un site : Toulouse ; une
date : semaine du 15 au 20 décembre 2008, et en cas de succès les années suivantes,
juste avant le départ pour la tournée australienne ; une surface : celle qui
sera utilisée à l’Open d’Australie ; une formule : des poules formées par les joueurs
ayant obtenus sur l’ensemble des quatre tournois le plus grand nombre de points.
Cinq joueurs plus une wild-card se disputeront deux places dans deux poules
finales, composées de quatre joueurs chacune. Bien sûr, les points alloués dépendront
de l’importance des tournois, les qualifications de Bercy étant revues à la
hausse par rapport à un premier tour ailleurs. Le trio d’entrepreneurs a trouvé
également le soutien des médias, dont la télévision, des sponsors, et donc de
l’argent en quantité suffisante pour appâter les tout meilleurs joueurs :
700 000 euros d’enveloppe globale et 250 000 euros au vainqueur.


Ce n'est pas une bonne idée ce type de tournoi entre francais, deja qu'une saison tennistique est tres eprouvante, on ne va pas leur rajouter ce fardeau

C'est vraiment idiot...

J'aime la petite pique sur la corruption

Simon se positionne

Vainqueur du Roumain Pavel, le n°3 français s’est placé comme prétendant pour intégrer l’équipe de Coupe Davis.


GILLES SIMON observe du coin
de l’oeil le combat qui oppose
Sébastien De Chaunac à Juan
Monaco. Il va disputer le match
suivant contre le vétéran roumain,
Andreï Pavel (33 ans), mais on ne
sent aucune tension chez le Français,
nouveau résident suisse.
Beaucoup de joueurs dans son cas
restent dans leur coin. Lui, il discute,
il plaisante avec son amie et
son coach, Thierry Tulasne. À
vingt-deux ans, il s’assume tel qu’il
est. À la question : « Comment
s’est passée votre entrevue avec
Christian Bîmes à propos de la
Coupe Davis ? » – on sait que le
Président a rencontré la plupart
des joueurs « sélectionnables » –
Simon répond : « Très bien, même
s’il ne m’était pas facile de donner
mon avis dans le sens où je n’ai
jamais joué en Coupe Davis ! »
Tulasne souligne : « Le président
voulait le féliciter pour sa victoire à
Bucarest », en septembre, son
deuxième titre de l’année, après
celui de Marseille en février.
« C’était pour que je sache à quoi
m’attendre au cas où, dit le 32e
joueur mondial, soit le troisième
homme de la hiérarchie française à
l’ATP, derrière Richard Gasquet et
Paul-Henri Mathieu. Je lui ai dit
que j’accordais toutema confiance
à Guy Forget. »
Avec un bémol toutefois : « Je
pense que c’est un super capitaine,
personne ne s’est jamais plaint de
l’avoir sur la chaise. Entre lui et
moi, il y a eu quelques trucs qui ne
m’ont pas plu, mais c’était plus sur
la forme que sur le fond. J’aimerais
qu’il se sente plus concerné par ce
que nous, les joueurs, vivons toute
l’année sur le circuit. » Du coup, se
pose le problème de l’entraîneur de
l’équipe de France. On sait que la
place de Patrice Hagelauer à ce poste est menacée. L’intéressé luimême
n’en fait pas mystère. Plusieurs
noms circulent à l’heure de
lui trouver un remplaçant, dont
celui de Thierry Tulasne. Lequel
répond évasivement : « C’est possible
que ce soitmoi dans le sensoù
tout est possible. » Sur le sujet,
Simon est partagé : « Il vaudrait
mieux avoir un entraîneur neutre,
mais qui est mieux placé qu’un
coach de joueur pour voir le plus de
matches dans l’année ? » Et de
lancer avant d’entrer sur le court :
« En tout cas, moi, la Coupe Davis,
ça me stimule. »
« Je suis
moins médiatique »
Quelques minutes plus tard, Gilles
Simon entrait sur le court, très
concentré. « Un des courts indoor
les plus rapides du circuit avec
Zagreb, jugea-t-il ensuite, mais j’ai
les armes pour bien jouer dessus. »
Il marqua les esprits en battant
Pavel (6-2, 2-6, 6-1), comme il
l’avait fait à Nottingham en juillet
sur gazon. Ajoutez sa victoire sur
Hanescu en finale du tournoi de
Bucarest, sur terre battue, autant
dire que Simon est un joueur multisurface
et qu’à lui seul, il a décimé
toute l’équipe de Roumanie, prochain
adversaire de la France en
Coupe Davis en février 2008. « J’ai
de bonnes stats contre eux, confirma
Simon après sa victoire. Et je
peux vous dire que c’était plus
agréable ici qu’à Bucarest ! »
D’autant plus agréable que le nouveau
« magicien » du tennis français
(digne successeur de Santoro)
relevait de blessure, touché au tendon
rotulien pendant le tournoi de
Metz : « J’ai voulu jouer quand
même et je n’ai joué qu’à moitié.
Alors, j’ai renoncé à disputer le
Masters Series de Madrid (un
crève-coeur pour un garçon en
quête de points pour passer le cap
du top 30, voire du top 20) et j’ai
mis le paquet sur les deux derniers
tournois, en France, Lyon et Bercy.
Je suis fier d’avoir gagné ma place
à Bercy par moi-même (sans avoir
recours à une wild-card). »
C’est que le garçon est un petit peu
vexé que son talent ne soit pas
reconnu à sa juste valeur. Même
s’il assène : « Moi, jem’en tape ! »
Et d’expliquer son point de vue :
« Depuis que je suis 30/2, j’ai eu la
progression la plus régulière qui
soit. Mais je suismoins médiatique
que certains qui font plus de bruit,
parce que j’étais en dessous en
juniors, d’où part la notoriété. Il y a
des avantages et des inconvénients
à cela. Je n’ai pas envie de
m’étaler, mais ça peut être frustrant.
J’ai compris que la médiatisation,
ça viendra ; il me manque
un gros truc, soit à Roland-Garros,
soit en Coupe Davis. Petit à petit, je
me familiarise avec les situations à
risques, et j’essaie de rassurer, de
faire passer le message qu’on peut
compter sur moi, et que si l’on
m’appelle, je viendrai avec grand
plaisir. »Mais tout cela est encore
bien loin : « Déjà, il va falloir battre
“Bennet” (Julien Benneteau). Je
l’ai battu une fois en challenger
alors qu’il était favori, mais il
s’étaitmis un peu trop de pression.
Je vais essayer de jouer mon jeu, si
j’y vais à fond, que je joue bien, ça
passera ; sinon, non. » Et puis à
plus long terme, il y a l’assurance
d’être tête de série à l’Open d’Australie
en janvier prochain :
« J’essaierai d’optimiser au mieux
cet avantage, en fonction de ce que
l’on me mettra sur la route »,
conclut-il avec l’assurance du
joueur sûr des atouts qu’il a dans la
main.
DOMINIQUE BONNOT

Source: l'equipe

Des Français contrastés

Humeurs variées pour six des quatorze Tricolores du tableau.



ÇA SOURIT

 Sébastien de Chaunac. – Il a perdu, mais en
livrant un match héroïque face àMonaco (20e ATP)
alors qu’il n’est plus que 506e (6-7 [13-11], 6-3, 7-6
[7-3], en 2 h 38 minutes). « Tout le monde pense
que c’est déjà bien ce que j’ai fait, mais, moi, je suis
déçu. » Il n’a pu jouer que six des dix-huit derniers
mois, en raison de blessures (rupture du tendon
d’Achille, tendinite au bras), mais a pris un nouvel
entraîneur, Sébastien Lami,un amijustement, pour
fêter ses trente ans et sa motivation intacte.
Fabrice Santoro. – Il ne joue son premier tour
ici qu’aujourd’hui, face à Roddick, tête de série
no 1, mais il est assuré d’avoir sa place dans le
tableau final de Bercy, en simple, grâce au forfait
de Safin.
RodolpheCadart.–Ne le cherchez pas dans le
classement ATP, Rodolphe Cadart l’a quitté. Il était
alors 1 495e en janvier 2006, en pensant qu’il n’y
retournerait jamais : « J’ai joué sur le circuit pendant
dix ans, j’ai fait des résultats sympa (187e en
1999), mais il y a deux ans, j’ai décidé d’arrêter
parce que j’ai eu un petit garçon et que je me suis
fracturé le poignet. Alors j’ai décidé de passer mon
BE 1. Ici, c’est vraiment mon jubilé ; j’ai eu une
wild-card en qualifs et me voilà, dans le grand
tableau ! » L’Aixois est opposé aujourd’hui à un
autre Provençal, Sébastien Grosjean.



ÇA GRINCE

ArnaudClément. – Il est ressorti de son match
frustré mais lucide : « C’est logique, Becker a été un
poil meilleur que moi (7-6, 7-6 pour l’Allemand). Je
suis très déçu. »Moins que pour ce qui se trame en
Coupe Davis : « Une réunion est prévue lundi à
Roland-Garros,à 10heures. Je ne saispas trop qui y
sera puisque la moitié (des joueurs) sera à Bercy.
Faudrait peut-être trouver un autre moment, ce
serait plus intelligent. Mais cette réunion est impérative,
car il y a beaucoup de trucs que je ne comprends
pas. Le président Bîmes dit qu’il a rencontré
9 des 10 premiers joueurs français. Pour ma part, il
ne m’a pas rencontré. Il n’a pas rencontré “Séb”
(Grosjean) et il y a au moins deux autres joueurs
(dont Llodra) qu’il n’a pas rencontrés non plus.
C’est bizarre. Je ne comprends pas pourquoi Guy
n’est pas reconduit dans ses fonctions, ni pourquoi
le poste d’Hagel est remis en question alors que
c’est un super entraîneur. Je voudrais que les
choses soient claires et nettes. C’est nul, il y a déjà
eu trop de battement entre la dernière rencontre et
les décisions pour l’année prochaine. Beaucoup
trop de n’importe quoi. »
Michaël Llodra. – Il a abandonné hier au côté
de Benneteau en double : « Inflammation au
moyen fessier. » Cuisse gauche. La semaine dernière,
c’était la cuisse droite qui l’avait contraint à
l’abandon à Andrézieux. Bourré d’anti-inflammatoires
il va essayer ce matin de défendre ses
chances contre Olivier Rochus.
 Nicolas Mahut. – Il est passé à côté de son
match, face à l’Argentin Hartfield.Du coup, l’Angevin,
qui avait l’espoir de bénéficier de l’une des
deux wild-cards restant pour les Français à Bercy,
avait le moral dans les chaussettes : « Si les organisateurs
se basent sur mon match d’aujourd’hui, je
ne risque pas de l’avoir ! », soupirait-il. – D. B.

Ljubicic a un boulevard jusqu'à la finale. Il a un très bon coup à jouer pour le Masters.

1 er set gagné par Gasquet 7/6...

Il faut reconnaitre que c'est grace à son service ou il a fait plus de 11 aces dans ce premier set, sinon à l'echange il est un peu à la rue, tres lent dans ses deplacement, il recule trop derriere la ligne de fond de court...

On a vraiment un Gasquet insipide... On va dire qu'il a fait le metier...

Oui c'est ce que je craignais cette semaine, un rapprché de Ljubicic et qu'il les coiffe tous sur le poteau

Gasquet s'en sort très très bien dans ce premier set, il a beaucoup de mal sur le service de C. Rochus, le belge a gagné 19 points d'affilé sur son service, il en perd 1 a 5-5 dans le tie break, qui donne une balle de set que le français ne manque pas de conclure sur son service
J'espere que maintenant il est lancé, il doit pouvoir gagner ce genre de match plus facilement, mais bon c'est toujours mieux quand ca tourne comme ca

1er set pour Gasquet face a Christophe ROCHUS 7/6 qui a aligné pas moins de 19 points consécutifs sur son service. Le 20eme fut perdu sur double faute a 5/5 au tie break. Richard tiens notemment grace a un excellent service (62% de 1ere et 13 aces en 1 seul set ). Va quand meme falloir qu'il trouve des solutions en retour riri.

Perso, quel plaisir de voir jouer les rochus !

Vu qu'a priori je suis pas le seul a voir le match, y'en a pas u qui veut envoyer un exrait du reglement a Haillet parcequ'il est pas au top concernant la regle sur les fautes de pieds

David a écrit:

Vu qu'a priori je suis pas le seul a voir le match, y'en a pas u qui veut envoyer un exrait du reglement a Haillet parcequ'il est pas au top concernant la regle sur les fautes de pieds

Oui il n'arrete pas de signaler la soit disante faute de pied du belge...

Il me semble que du moment qu'il frappe la balle avant de tomber dans l'autre moitié de terrain, ca reste malgré tout valable?

arabem a écrit:

David a écrit:

Vu qu'a priori je suis pas le seul a voir le match, y'en a pas u qui veut envoyer un exrait du reglement a Haillet parcequ'il est pas au top concernant la regle sur les fautes de pieds

Oui il n'arrete pas de signaler la soit disante faute de pied du belge...

Il me semble que du moment qu'il frappe la balle avant de tomber dans l'autre moitié de terrain, ca reste malgré tout valable?

Effectivement !

Qui regarde le match de Gasquet ? Quel est le niveau ? Apparemment il est pas en pleine confiance ou c'est Rochus qui joue bien ?

arabem a écrit:

David a écrit:

Vu qu'a priori je suis pas le seul a voir le match, y'en a pas u qui veut envoyer un exrait du reglement a Haillet parcequ'il est pas au top concernant la regle sur les fautes de pieds

Oui il n'arrete pas de signaler la soit disante faute de pied du belge...

Il me semble que du moment qu'il frappe la balle avant de tomber dans l'autre moitié moitié de terrain, ca reste malgré tout valable?

Exactement, s'il n'est pas en contact avec le terrain au moment de la frappe, y'a rien du tout. Sinon ils sont tous en faute de pied a la reception puisqu'apres la pousséez au service, ils sont tous a l'intérieur !

Tiens il en remet une couche le haillet a ce sujet. Quelle feve ce mec !

max8 a écrit:

Qui regarde le match de Gasquet ? Quel est le niveau ? Apparemment il est pas en pleine confiance ou c'est Rochus qui joue bien ?

Rochus joue bien et richard est en dedans quand meme. Tres bone qualité de service chez le français jusqu'ici et heureusement, mais le belge le tiens bien a l'échange, le prennant régulièrement a son compte et il contre bien Riri.

Tres decevant Richard dans sa maniere de gerer ses balles de breaks, il ne tente rien, il attend que rochus lui donne le point afin de breaker...

Ses vieux demons resurgissent toujours chez gasquet, toujours aussi petit garcon dans l'attitude, j'ai pas l'impression qu'il est le 11eme joueur mondial

Il doit jouer plus agressif !