JO-WILFRIED TSONGA

J'ai entendu dire que la blessure de Tsonga était très grave et qu'elle lui couterait RG (à peu près sûr) et Wimbledon (de grandes chances). Je tiens cette info de mon pote qui bosse dans le milieu journalistique sportif.

vdd a écrit:

J'ai entendu dire que la blessure de Tsonga était très grave et qu'elle lui couterait RG (à peu près sûr) et Wimbledon (de grandes chances). Je tiens cette info de mon pote qui bosse dans le milieu journalistique sportif.

Oui on parle de deux mois au minimum d'absence voir plus, tout dependera des decisions qu'il va prendre si oui ou non il fera une operation de son menisque?

Ca sera l'histoire de ce joueur. Un joueur de "coups" entrecoupés par des blessures. Son physique trop imposant est un handicap pour ce sport. Un peu comme Philippoussis dans le passé.

HALALALALALA Blessure confirmé pour Jo.
Ca sent le paté pour Jo.
Mal barré pour Roland et pire pour Wimbledon

Jo-Wilfried Tsonga, blessé au ménisque du genou droit, a annoncé mercredi son forfait pour le Masters Series de Monte-Carlo, qui commence dimanche, mais s'est montré optimiste pour la suite de la saison sur terre battue et pense pouvoir éviter l'opération.

Plus d'infosTsonga, le genou est touché
"J'ai effectué un arthroscanner en début de semaine. Les médecins sont plutôt optimistes par rapport au premier diagnostic de la Fédération qui disait que j'allais sûrement me faire opérer. J'ai subi une infiltration et je dois attendre dix jours pour savoir comment mon genou va réagir", a expliqué le joueur français, 15e au classement ATP. "Je ferai donc un test en milieu de semaine prochaine. Si j'ai encore mal, on prendra une décision sur la démarche à suivre", a-t-il ajouté.

"Pas une croix sur Roland-Garros"

Après le forfait de Tsonga pour le quart de finale de Coupe Davis face aux Etats-Unis le week-end dernier, la possibilité d'une opération avait été évoquée au sein de la Fédération française de tennis, ce qui signifierait une indisponibilité d'environ deux mois. "Pour le moment, aucune opération n'est prévue, même s'il est vrai que le ménisque est un peu touché, a affirmé Tsonga. Une chose est sûre, je n'ai pas fait une croix sur Roland-Garros. Je garde espoir puisque les médecins m'ont dit que ça pouvait passer sans être opéré. Ce qui est certain, c'est que je suis forfait pour Monte-Carlo. Pour la suite, attendons."

Révélation du début de saison, où il avait atteint la finale de l'Open d'Australie et connu sa première sélection en Coupe Davis, Tsonga préfère voir le bon côté de la chose. "Je vis cette blessure plutôt bien. Je me dis que j'ai connu des coups bien plus durs que celui-là. C'est un défi de plus à relever. J'espère que le fait d'être blessé va me remotiver pour les prochains tournois. Parce que ces derniers temps, je ne prenais pas vraiment de plaisir sur le court. Là, le circuit va me manquer" , a-t-il souligné.


S'il perd sa motivation au bout de 9 mois de circuit alors qu'il sortait d'une très longue blessure, il n'est pas près de perfer à long terme, le Tsonga

Encore un joueur qui trouve du plaisir dans les grands tournois mais qui tire une tête d'enterrement quand il doit jouer un top 40 dans un Master Serie?

faipalgugus a écrit:

Jo-Wilfried Tsonga, blessé au ménisque du genou droit, a annoncé mercredi son forfait pour le Masters Series de Monte-Carlo, qui commence dimanche, mais s'est montré optimiste pour la suite de la saison sur terre battue et pense pouvoir éviter l'opération.

Plus d'infosTsonga, le genou est touché
"J'ai effectué un arthroscanner en début de semaine. Les médecins sont plutôt optimistes par rapport au premier diagnostic de la Fédération qui disait que j'allais sûrement me faire opérer. J'ai subi une infiltration et je dois attendre dix jours pour savoir comment mon genou va réagir", a expliqué le joueur français, 15e au classement ATP. "Je ferai donc un test en milieu de semaine prochaine. Si j'ai encore mal, on prendra une décision sur la démarche à suivre", a-t-il ajouté.

"Pas une croix sur Roland-Garros"

Après le forfait de Tsonga pour le quart de finale de Coupe Davis face aux Etats-Unis le week-end dernier, la possibilité d'une opération avait été évoquée au sein de la Fédération française de tennis, ce qui signifierait une indisponibilité d'environ deux mois. "Pour le moment, aucune opération n'est prévue, même s'il est vrai que le ménisque est un peu touché, a affirmé Tsonga. Une chose est sûre, je n'ai pas fait une croix sur Roland-Garros. Je garde espoir puisque les médecins m'ont dit que ça pouvait passer sans être opéré. Ce qui est certain, c'est que je suis forfait pour Monte-Carlo. Pour la suite, attendons."

Révélation du début de saison, où il avait atteint la finale de l'Open d'Australie et connu sa première sélection en Coupe Davis, Tsonga préfère voir le bon côté de la chose. "Je vis cette blessure plutôt bien. Je me dis que j'ai connu des coups bien plus durs que celui-là. C'est un défi de plus à relever. J'espère que le fait d'être blessé va me remotiver pour les prochains tournois. Parce que ces derniers temps, je ne prenais pas vraiment de plaisir sur le court. Là, le circuit va me manquer" , a-t-il souligné.


S'il perd sa motivation au bout de 9 mois de circuit alors qu'il sortait d'une très longue blessure, il n'est pas près de perfer à long terme, le Tsonga

Encore un joueur qui trouve du plaisir dans les grands tournois mais qui tire une tête d'enterrement quand il doit jouer un top 40 dans un Master Serie?

Mouais, c est là ou l on voit la motivation qu avait dédé pour rester à un niveau stratosphérique à 35 ans apres 20 ans de carriere.

Bonne nouvelle pour Jo qui annonce pouvoir jouer à Rome et estime que même si il n'est pas preparé pour ce tournoi qu'il est soulagé et qu'il pense etre pret pour Roland.
J'espere pour lui qu il sera bien pour la saison sur gazon.

Tsonga démolit Djokovic dans les vestiaires après la finale de l'AO:

Ouf rien de grave pour Tsonga, il n'a aucune dechirure abodminale Finalement c'est peut etre un mal pour un bien, car j'avais trouvé vachement risqué de vouloir enchainer 6 tournois en 6 semaines !
Cette petite coupure lui fera du bien !



Après la nouvelle tuile qui s'est abattue sur lui au deuxième tour de Tokyo contre Viktor Troïki (abandon à 7-5, 1-2), Jo-Wilfried Tsonga peut souffler. Alors qu'il craignait une déchirure abdominale, le Manceau n'a aucune lésion et devrait donc reprendre l'entraînement en milieu de semaine prochaine. Les examens médicaux, pratiqués samedi matin, «n'ont rien révélé de grave», selon son entraîneur Eric Winogradsky.

Le finaliste de l'Open d'Australie réserve encore sa décision concernant sa participation au Masters Series de Madrid qui commence le 13 octobre. Après quelques jours de repos, le Français peut de nouveau entrevoir le Masters en fin de saison ou du moins revenir dans la course à la qualification. Le tournoi de Bercy, prévu du 27 octobre au 2 novembre, doit également souffler. Une de ses principales attractions qui s'affichent dans tout Paris sera bien là. Et pas qu'en photo ! (Avec AFP)

C'est quand même grave un mec de cet âge là qui se blesse autant.

PS: au fait arabem, ta signature c'est n'importe quoi. Je tenais à te le dire.

ça y est, il a fait sa première grande pub pour Kinder Bueno, c'est devenu un Ponte

Cela dit, la pub est sympa, c'est un meilleur "acteur " que TP, il fait plus naturel que l'autre couillon.

Un vrai fils de Pub.

Quelle perspicacité Arabem !
Tu as flairé ce Tsonga le premier, tu as du pif pour dénicher les talents.

botany a écrit:

Quelle perspicacité Arabem !
Tu as flairé ce Tsonga le premier, tu as du pif pour dénicher les talents.

En fait j'en avais parlé en 2004 en le voyant jouer en live à Bercy, mais en 2005, suite à ses blessures (et surtout son hernie discale) j'y croyais plus. Ce qui est drôle c'est que lors de son AO, c'est un pote à moi qui m'a rappelé le fait que j'avais bassiné avec ce joueur fin 2004. Par contre je pensais Gasquet et Monfils plus forts. A l'époque je voyais un top 10 avec Gasquet, Monfils et Tsonga bien placés.

salut

Pour ceux qui veulent ecouter Tsonga. C'est maintenant de 18H A 20H sur RMC

http://www.rmc.fr/sport_player.html

L’OEIL DE MATS WILANDER:




« Les autres
ont peur
de lui »

« J E N E
SUIS PAS vraiment
surpris par
le succès de Jo-Wilfried.
Tout juste, peutêtre,
qu’il soit revenu si
vite après une blessure,
mais déjà pendant l’Open
d’Australie, j’avais dit dans
L’Équipe que je pensais qu’il
serait un jour dans le top 5. Il s’en
approche. Il est si solide mentalement
qu’il n’y a aucune raison qu’il
redescende, à condition qu’il prenne
toujours autant de plaisir à jouer et
reste en bonne santé. La manière dont
il a produit son meilleur tennis devant
ces 13 000 Parisiens est impressionnante.
Une fois que Nadal et Federer
ont abandonné, tout le tournoi reposait
sur ses épaules. La façon dont il
s’est comporté confirme ce qu’on avait
vu à Melbourne : il n’a peur de rien ni
de personne. Bien sûr, son jeu dépend
énormément de son service, mais on
peut dire ça de tas de grands joueurs,
comme Sampras ou Becker. S’il sert
bien, sur une surface comme ça, il faut
souhaiter bonne chance à ses adversaires.
Ce qui est très différent de
quatre-vingt-dix des cent premiers
joueurs du monde, c’est qu’il montre
sur le court qu’il croit à 100 % en ses
chances. On comprend, à son regard,
qu’il est toujours persuadé de pouvoir
produire le meilleur tennis de sa vie sur
le prochain point. Il n’a aucune limite
et il montre qu’il pense n’avoir aucune
limite. C’est une des choses les plus
importantes pour un joueur de tennis.
C’est ce que m’avait appris son match
contre Nadal àMelbourne. C’est là que
je m’étais dit qu’il allait s’installer parmiles
meilleurs et gagner des tournois,
y compris en Grand Chelem. Les autres
joueurs ont peur de lui. Pour n’importe
quel joueur, il y a beaucoup à
apprendre à regarder la façon dont
Tsonga joue, utilise le public et profite
des périodes fortes d’une rencontre.
Une fois qu’il a pris le match en main, il
devient très difficile de casser son élan.
Bien sûr, quand on prend autant de
risques, ça ne peut pas marcher à
chaque fois. Mais un autre élément va
désormais agir en sa faveur : nulle part
dans le monde il ne jouera plus sur les
courts annexes. Or, le jour des « gros »
matches, il ne se réveille pas en se
demandant s’il va bien jouer : il sait
qu’il fera tout ce qu’il peut, qu’il utilisera
tous les atouts de son jeu pour trouver
celui qui fonctionnera le mieux ce
jour-là et lui permettra de gagner.
Personne ne peut dire jusqu’où il ira
mais c’est un solide top 10. Et il sera
dangereux partout, contre n’importe
qui. Et ce dès Shanghai, si son genou
tient le coup. »

Son
corps
peut-il tenir ?


L’HOMME
miracle ? Vendredi
soir, très
tard, après le quart
de finale face à Roddick,
Patrick Basset
retrouve Tsonga dans les
vestiaires de Bercy. « Maintenant,
tu es réglé comme
une horloge, rien ne peut
t’arriver. La preuve, c’est que je
neserai plus làdu tournoi. »Jo le
regarde et sourit : « Super, c’est
ce que j’attendais que tu me
dises. » Libéré de sa peur primale du
dérèglement musculaire, l’athlète,
qui semblait toussoter sur certains
coups, reçoit le feu vert de son ostéopathe.
On connaît la suite ébouriffante.
Interrogé sur la nature des bien-faits prodigués augrand corps malade,
Patrick Basset reste elliptique.
L’homme qui avait évité à Tony Parker
une intervention chirurgicale quand il
avait dix-sept ans – il manipule toujours
le basketteur – rencontre Tsonga
pour la première fois en juillet dernier,
parce qu’il fallait bien faire quelque
chose face aux pépins physiques incessants.
« Le courant est passé entre
nous, j’ai fait un état des lieux pour
remonter à la source des problèmes. »
Au fil des consultations, tantôt au
cabinet parisien de l’homme qui vient
de démissionner de Tottenham, tantôt
à son domicile de l’île de Ré, le travail
semble porter ses fruits. « Le corps de
Jo ? Il est super, café au lait, taquine
l’ostéo, avant de délivrer une info
essentielle. C’est un corps quiméritait
d’être réglé. À partir du moment où
on trouve le réglage optimal, ça
va. Et, oui, aujourd’hui, on
l’a trouvé. » Juré, Tsonga
n’aura plus jamais
de grosses contrariétés
? « Ça,
c’est mon boulot
», conclut
Basset.



Comment
est-il arrivé là ?


est-il arrivé là ?
LONGTEMPS DANS L’OMBRE de
ses cadets Richard Gasquet et Gaël
Monfils, Jo-Wilfried Tsonga n’est pas
pour autant le produit d’une génération
spontanée. Repéré dès son plus
jeune âge par les détecteurs de la FFT,
il a traversé toutes les étapes de la formation
fédérale, à laquelle il est toujours
resté fidèle. Son coach actuel,
Éric Winogradsky, qui l’a pris en main
depuis quatre ans, toujours sous
l’égide de la FFT, ne tarit pas d’éloges
sur les bases de son jeu : « Sa formation
technique a été excellente. Ça, on
le doit à tous ses entraîneurs, y compris
à ses entraîneurs de club. »
Mais le coach met très vite l’accent sur
un autre élément fondateur de la réussite
: la compréhension des exigences
du métier de sportif pro. « Il a compris
une chose essentielle : pour accéder au
plus haut niveau, il faut bosser comme
un damné. Il y a une vraie volonté derrière
tout ça. »
Patrice Dominguez, le DTN, abonde
dans son sens : « Je l’ai entendu dire
une phrase formidable à sa mère : “Je
n’estime pas mes moyens, je me les
donne.” C’est assez extraordinaire. Ça
résume ses qualités. C’est quelqu’un
qui a raisonné son tennis. Il sait ce qu’il
va produire. Même à 0-40, on ne le
sent pas accablé. Il est très organisé. »
L’autre facteur essentiel de la
construction de sa personnalité aurait
pu constituer un handicap insurmontable
: ses blessures à répétition. « Il a
souffert dans sa chair pour mettre son
corps et son jeu en accord avec ses
ambitions, souligne Dominguez.
Comme tout type qui a passé des
épreuves difficiles, il en sort plus fort.
Ce parcours le sert dans les moments
chauds. Il connaît le prix à payer. C’est
un atout. »
Force de caractère et intelligence lui
permettent donc de bâtir chaque jour
un peu plus solidement l’édifice de son
jeu. « Il cherche constamment à améliorer
les petits détails, insiste Winogradsky.
Il s’est construit progressivement
et dans le bon ordre. Tous les
meilleurs ont désormais une véritable
structure de travail autour d’eux.
Mais encore faut-il que le joueur s’y
intéresse… Quand les choses sont
bien définies et qu’on est curieux
de nature, forcément, on finit par
progresser… »
Surtout quand l’intéressé met en
pratique les consignes avec
application : « À la fin de l’année
dernière, raconte Tsonga, j’ai fait
une préparation hivernale très
dure. J’ai encaissé des tonnes de
travail. Je n’avais pas eu la chance
d’avoir mon entraîneur physique
avec moi. Je faisais mes séances
tout seul. On était partis en stage du
côté de Perpignan. Moi, j’avais mes
feuilles et je suivais les indications à
la lettre. J’étais vraiment dans ma
bulle. Les autres me regardaient, ils
devaient se dire : “Lui, il et complètement
malade.” Je passais devant eux en
regardant droit devant moi, concentré.
J’avais fait une telle préparation qu’en sortant
de là, je me suis dit : “Mais, quand
même,je suis fort. Je sens que je suis capable
de faire de grandes choses.” Et voilà, je suis
parti pour l’Australie. »



Quand
a-t-il failli
arrêter ?

« C’ÉTAIT EN MAI 2005, se souvient
Éric Winogradsky. Un des pires
moments de sa carrière. Première blessure
au genou juste après sa hernie discale.
Il en avait bavé pour revenir et puis “tchac” :
fissure du tendon rotulien. Il a un petit peu accusé
le coup. Je lui ai dit que c’était juste une question de
temps, qu’on allait tout faire pour lui permettre de
revenir, qu’il pouvait compter sur moi pour l’attendre. »
Patrice Dominguez, le DTN, reconnaît qu’il avait envisagé
sérieusement de laisser Jo se refaire (ou pas) une santé
de son côté et de réorienter Winogradsky sur un autre
groupe de jeunes. « C’était normal, il fallait bien que je
travaille. Mais quand Patrice m’en a parlé, je lui ai dit
que ce serait dommage de ne pas patienter. C’était une
décision pas facile à prendre pour le DTN », raconte
“Wino”. Mais Dominguez l’a prise : « Éric était tellement
certain du potentiel de Jo et surtout qu’il pouvait,
avec Cyril Brechbuhl, l’aider à renforcer son physique
qu’il m’a convaincu de leur laisser du temps. »


Qui l’a
toujours soutenu ?

AU CENTRE de la galaxie Tsonga
se trouve Éric Winogradsky. Toujours
souriant, avenant, mais jamais en
transes. Ses émotions, le coach « fédéral »
de la nouvelle star les garde en lui.
« Éric est un entraîneur qui a toujours cru en moi,
rappelle Jo. Pour faire un grand champion, il faut
qu’il soit bien entouré. Et j’ai la chance d’avoir des
gens super comme Éric autour de moi. »
Pour autant, et en dépit de toutes les tempêtes qu’ils ont
traversées ensemble depuis le 1er janvier 2004, Tsonga
n’inclut pas son coach dans sa famille : « J’essaie toujours
de garder un petit peu tout le mondeà sa place. C’est important
pour mon équilibre de ne pas mélanger les choses ou le
rôle que les gens jouent dans mon entourage. »
« Avec Wino, ils se sont bien trouvés, témoigne
Tulasne. Jo a confiance en son entraîneur et
après, il fait le job de façon détendue. Comme
Yannick (Noah), c’est une bête de travail. Il
assure et se rassure par le boulot. Les blessures
mises à part, il est facile à gérer. Yannick,
il fallait le cadrer, Wino n’a pas ce problème
avec Jo. »
« Tutu » n’en demeure pas moins admiratif de
« Wino » : « C’est un grand coach. Depuis
quatre ans, ce qu’il a vécu (les nombreuses et
graves blessures de son joueur) a été super frustrant
pour lui. Mais il sentait qu’il allait réussir.
Il ne l’a jamais lâché. »


Source: l'equipe

Couleur mental haut


ET SI TOUT Jo-Wilfried Tsonga tenait dans ce témoignage d’Yvonnick
L’Hurriec, rival du colosse manceau quand ils n’étaient encore que
benjamins ? « Jusqu’à onze ans, c’était moi qui gagnais. Mais à partir de
douze ans, il a pris le dessus et ç’a été fini. Jo ne doutait jamais. C’est un
gagneur, comme maintenant. Il n’avait jamais peur. Nous, on avait
toujours la crainte de mal faire, pas lui. On l’enviait pour ça. Sur le
court, il était comme on l’a vu à Bercy, il sautait partout, il
s’énervait, il râlait et il finissait par gagner. » Douze ans, le bel âge.
Déjà repéré par la filière fédérale, l’énergumène est invité à
intégrer un tennis-études. « Il n’a pas saisi l’opportunité, se
souvient Patrick Ernoult, CTR de la ligue Pays de Loire. Il ne
souhaitait pas quitter sa famille. » Evelyne, la « maman-poule » de
Jo, telle qu’elle se décrit elle-même, corrige : « C’est moi qui ai
refusé. Pas Jo. L’année suivante, je l’ai laissé partir. » « À treize ans,
il était prêt, renchérit Ernoult. Il avait vraiment décidé, verbalisé
qu’il voulait devenir fort. En tournoi, il était déjà le Jo qu’on voit
aujourd’hui, un gros bagarreur.»
1998, le fauve est lâché. Sous la houlette de Dominique Poey, au
Pôle France de Poitiers, qu’il intègre en septembre, Jo-Wilfried
démarre ses études pour devenir champion. « Un gosse qui n’a
jamais posé aucun problème, se souvient l’actuel responsable des
jeunes catégories d’âge à la FFT. Il était plus grand que les autres,
plutôt calme, introverti. Il bossait dur, mais je trouvais qu’il lui fallait
afficher plus d’ambition. Aux Petits As, après une défaite contre
Nicolas Almagro, 6-0 au troisième set, j’étais en colère contre Jo et je le
lui avais dit car j’avais le sentiment qu’il pouvait mieux faire et qu’il ne
le savait pas. En fait, son ambition était intérieure. »

parmi les plus douloureuses de la vie familiale des Tsonga.
« Quand vous laissez votre fils tout seul, loin de vous, avec
des gens qu’au fond vous ne connaissez pas, vous vous
demandez : « Que vont-ils faire de mon enfant ?» Poitiers,
du Mans, n’était pas accessible facilement. Il n’y avait pas
encore de téléphones portables pour communiquer et les
longues tournées – plus les enfants étaient forts, plus ils
disputaient de tournois, moins ils voyaient leurs parents – pouvaient tenir Jo
éloigné de ses proches durant un mois. « Lorsqu’on arrivait pour le voir, il le
vivait mal parce qu’il anticipait déjà le moment où nous allions repartir. Alors
on essayait de compenser. On mangeait ensemble, j'apportais du ravitaillement.
Nous, qui sommes enseignants, avons dû accepter de voir notre fils lâcher les
études. D’ailleurs, certains profs étaient d’une intolérance et d’un mépris pour
les sportifs : " Qu’est-ce que tu vas faire de ta vie, toi, à part courir après la
balle ?" On paniquait. »
Bref, une première année « tennis-scolaire » à oublier. La deuxième fut plus
facile et pour Jo et pour les siens. « Grâce à une personne qui a joué un rôle
déterminant dans la carrière de Jo, raconte Evelyne Tsonga. Qui a toujours cru
en lui. Qui a compris comment il fonctionnait : Patrick Labazuy. " J’ai envie de
lui dire merci ", m’a dit Jo avant de partir pour Shanghai. D’ailleurs, ce n’est pas
étonnant si, cette année-là, Jo a survolé les Championnats de France minimes.
M. Labazuy a transmis à Jo la confiance que Jo lui inspirait.»
Confiance, le mot est lâché. Luigi Borfiga, l’homme qui a façonné tant d’ados à
l’INSEP avant qu’ils se lancent dans le grand bain du professionnalisme,
raconte : « Il ne doutait de rien, c’était unique. Il essayait de dégager un
message à travers son attitude: " Pas de problème, les gars, je vais gagner." Ça
pouvait être interprété comme un signe de grosse tête, mais il était tellement
sympa, que moi, je trouvais ça plutôt bien. C’était une bête de travail, en plus. Il
était beaucoup plus mature que les autres. Il savait pourquoi il était là.» Les
autres derrière, et lui devant. « Jo avait une très forte personnalité, mais il
n’était pas du tout difficile à gérer. Il était si exigeant avec lui-même. »


PATRICK LABAZUY, l’année précédente, n’a pas connu ce versant de la
montagne Tsonga, qui adoptait parfois un comportement en contradiction
avec son état d’esprit. Et pour cause, c’est lui qui lui a transmis ce qui fait
aujourd’hui sa force : « Il était un peu trop timide. Je l’encourageais à
montrer plus de fierté, à avoir une attitude plus forte, un port de tête qui le
rendrait plus dominateur. Je l’encourageais à oser davantage, à prendre plus
de plaisir, à ne pas se montrer trop crispé ou trop timoré. On le découvrait
parfois comme apeuré, voire au bord des larmes… » L’homme clé sortait
alors les vidéos de ses matches, que Jo observait sans moufter. Confronté à
sa propre image, il comprenait ce qu’il fallait changer. « En fait, je lui ai
appris à mettre le curseur entre son côté calme et paisible et son côté
expansif avec ses montées d’adrénaline, deux courants qu’il a toujours sentis en
lui. On lui montrait aussi des grands matches, des matches de Coupe Davis, mais
les valeurs que cela véhiculait, Jo les avait déjà dans ses rêves. »
Le 1er janvier 2004 marque le début de l’association avec Eric Winogradsky, le
coach de toutes les galères et de toutes les joies. Presque cinq ans et de
nombreuses blessures pour en faire un puissant du tennis, invité à la table des
maîtres. « Depuis qu’il est tout petit, j’ai toujours trouvé qu’il avait des qualités
physiques exceptionnelles, affirme sa maman. Je n’ai jamais, jamais douté qu’un
jour il arriverait à faire ce qu’il sait faire, et a toujours voulu faire : devenir un
champion. S’il ne l’avait pas été avec le tennis, il l’aurait été avec le
football. C’était en lui.»
DOMINIQUE BONNOT




Tsonga : « Gilles ne mangeait que des Chocapic ! »
« On a dû se rencontrer pour la première fois dans les compétitions de jeunes. On avait environ treize ans. Mais on ne se
parlait pas. Ensuite, on a été au Pôle France de Poitiers ensemble. J’étais déjà assez costaud, Gilles était tout petit, nous deux
c’était un peu David et Goliath !
On s’est surtout rapprochés sur la fin, au CNE, parce qu’on se retrouvait dans un cadre où on vivait la même situation,
on passait pros. On jouait des Futures ensemble. On s’est retrouvés à deux ou trois au CNE, avec des soirées vides, à ne rien
faire. On mangeait à 19 heures, on se retrouvait souvent le soir, on était tout le temps ensemble. On faisait plein de trucs :
on jouait aux jeux vidéo et ça nous est arrivé d’aller voir des potes en dehors ensemble… Y avait de petites fiestas de temps
en temps. Le " sur-gé " nous aimait bien et nous laissait faire ce qu’on voulait ! Pendant ces années-là, on n’avait pas des
vies d’adolescent normal. Le seul moyen de s’amuser, c’était de braver les interdits et de faire toutes les conneries possibles
et imaginables…
On s’est vite trouvé des points communs parce qu’on a vécu la même vie, quelque part. À partir de l’âge de douze-treize ans,
on a vécu exactement les mêmes choses. À Poitiers, arrivés exactement au même moment. Pareil à l’INSEP. Mais je suis
arrivé au CNE un an avant lui. Au CNE, il y avait Gaël (Monfils) mais sur la fin il a eu son appart, donc il est parti.
Il y a eu Clément Morel pendant un moment, et aussi Joss (Ouanna)…
De quatorze à dix-huit ans, même si je n’étais pas avec Gilles du matin au soir, je savais exactement où il était et ce qu’il faisait.
C’est une époque que j’ai très bien vécue. On discutait beaucoup. On avait beaucoup de longues discussions
" philosophiques ", sur la vie, sur la carrière qu’on allait mener, nos rêves…
On partageait des piaules sur les Futures. On a pas mal d’anecdotes ensemble… Je me souviens que, dans un de nos
premiers Futures, Gilles commençait à pas mal jouer, on était à Grasse… Il dormait sur le canapé et il ne mangeait presque
que des Chocapic ! Il avait toujours trois ou quatre paquets dans sa chambre, c’était son régime à lui. C’était ses vitamines,
quoi ! Un jour, avant sa demie ou son quart, il a pris un gros saladier, il a versé un litre de lait et le paquet en entier de
Chocapic : j’en revenais pas mais il a tout bouffé ! Bon, évidemment, après, il était un peu flagada mais il a quand même gagné
le tournoi ! C’est là où je me suis dit : " Ce mec, forcément, il a quelque chose… C’est pas possible, il a un secret…" - V. C.

C'est un article de l'Equipe ?

vydev a écrit:

C'est un article de l'Equipe ?

Oui fiston

Ok, tu craches 1 euro et tu fais un copier/coller des PDF si j'ai bien compris :hello:

vydev a écrit:

Ok, tu craches 1 euro et tu fais un copier/coller des PDF si j'ai bien compris :hello:

:biggrin:

Non...

Petit malin

Jo-Wilfried Tsonga a eu besoin d'une dose de repos supplémentaire avant de rejoindre le stage FFT à Saint-Cyprien. S'il n'a pas participé à toutes les activités, il a tenu à répondre présent à ce rendez-vous collectif tout en restant focalisé sur ses propres entraînements et la saison 2009.

Lundi 8 décembre, Grand Stade à Saint-Cyprien (Pyrénée-Orientales).

Jo-Wilfried Tsonga, arrivé jeudi avec Josselin Ouanna (touché au genou), ne fait pas la star sur la côte catalane. Rien d'ailleurs ne s'y prête : ni l'homme, ni le cadre bon enfant du stage FFT. Heureux de pouvoir aider ceux qui découvrent le plus haut niveau, le N.6 mondial n'en reste pas moins très concentré sur 2009. Le temps passe vite pour celui qui doit également penser à optimiser ses phases de préparation. Forfait pour le Masters France, il nous a expliqué qu'il devra également envisager de troquer des semaines de compétition pour des semaines de préparation au printemps, pour arriver enfin dans les meilleures conditions à Roland-Garros. Et la pression avant l'Open d'Australie ? C'est intégré depuis longtemps...

Comment vous sentez-vous ?

JO-WILFRIED TSONGA : "Je suis dans la peau du gars qui revient de vacances, qui vient de reprendre depuis quelques jours, et qui ne se pose pas la question de savoir si son tennis est en place. Je me demande surtout si je travaille de la bonne façon pour suivre le rythme d'entraînement fixé. Tous les jours on évolue. Avec mes entraîneurs, nous essayons d'apporter de nouveaux trucs, ce qui va me permettre de progresser. Je ne vais pas vous dire quoi, cela ne regarde que moi. Je ne crois pas que des joueurs comme Roger Federer ou Rafael Nadal vous disent exactement comment ils s'entraînent. Je vais faire pareil."

Que venez-vous chercher dans un rassemblement tel que celui-ci à Saint-Cyprien ?

J-W. T. : "J'aime bien l'état d'esprit. Quand on est nombreux, on a plutôt tendance à se tirer vers le haut. J'ai eu la chance de bénéficier quand j'étais jeune du contact des meilleurs Français (A mon époque, il y avait Paul-Henri Mathieu, Nicolas Escudé, Sébastien Grosjean...) et je crois que c'est la moindre des choses de rendre la pareille. Si par ma façon d'être, ma façon de m'entraîner, je peux aider des jeunes joueurs qui viennent d'arriver à la Fédération comment faire pour être performant, c'est un plaisir. "

Vous suivez tout de même des entraînements spécifiques ?

J-W. T. : "J'ai envie de faire mes propres entraînements. On est quand même chacun de son coin, c'est un sport individuel. J'ai envie de faire une bonne saison l'année prochaine et je veux m'y préparer au mieux. "

La suite du programme, c'est l'Australie, avec toute la pression et l'attente que cela suppose...

J-W. T. : "Je pars le 29 en Australie. Je ne me dis même plus "On m'attend" car c'est rentré dans mon fonctionnement. A partir du moment où je peux me regarder dans une glace, même si cela ne passe pas pour un ou deux points comme au Masters, peu m'importe le regard des gens. Je n'ai rien à me reprocher."

Quelles sont tes limites en termes de classement ?

J-W. T. : "Je crois que la seule limite dans un classement, c'est la place de N.1. J'ai envie de dire que j'ai toujours visé ça pour m'améliorer. Mon envie est donc intacte... Pour moi, j'ai toujours été capable de rivaliser avec les meilleurs."

Qu'est-ce que cela fait de retrouver Gilles Simon dans le top 10 ?

J-W. T. : "On n'a pas attendu d'être tous les deux dans le top 10 pour être copains et concurrent à la fois."

Comment envisages-tu le calendrier de la saison 2009 et notamment Roland-Garros ?

J-W. T. : "Je travaille dessus encore. C'est important d'avoir une petite idée générale mais on l'envisage bloc par bloc parce que cela dépend des résultats, des blessures. Être prêt pour Roland-Garros fait partie de mes objectifs. Je ne passerai pas par la tournée sud-américaine. Des semaines de tournois peuvent sauter pour privilégier l'entraînement. Je n'ai pas eu l'occasion de préparer Roland-Garros depuis mon passage chez les pros (à cause des blessures à répétition"
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Et sur le stage FFT lui-même (je sais pas où le mettre, alors je le mets ici...)


"LE RASSEMBLEMENT FAIT LA FORCE!"



Le stage d'intersaison organisé par la FFT à Saint-Cyprien se déroule dans des conditions idéales. Tous, Jo-Wilfried Tsonga et Gilles Simon inclus, louent les vertus du travail en groupe. Entre sorties VTT harassantes, randonnées en raquette et entraînements intensifs, l'ambiance est excellente...

Paul Quétin, préparateur physique, n'a pas pu s'empêcher d'envoyer quelques photos prises avec son mobile à son homologue Pascal Supiot. Quand ce dernier supervise le stage des filles sous le mauvais temps à Anglet, les garçons se préparent déjà au soleil australien. Comme l'an dernier, les conditions sont idéales pour un travail foncier d'avant-saison décisif pour les deux leaders du tennis français, Jo-Wilfried Tsonga (6e mondial) et Gilles Simon (7e), pour les habitués tels Florent Serra (59e), Laurent Recouderc (176e) comme pour les plus jeunes Antoine Feret (1320e), Mathieu Rodrigues (331e), Benoît Paire (628e) ou Stéphane Piro (987e).

La mer, la montagne et deux étoiles

Ils devaient être quatorze au départ, mais Adrian Mannarino (134e) qui soigne un genou douloureux n'est pas venu et Josselin Ouanna (152e, genou au repos également) est arrivé un peu plus tard. Ce lundi 8 décembre, soit au milieu du stage, les treize joueurs sont marqués par les efforts fournis depuis une semaine. Il règne pourtant une bonne ambiance dans ce groupe qui vient de vivre quelques moments forts entre randonnée en raquette en montagne, expédition à vélo et matches de foot. Ensemble et chacun pour soi, tous pensent déjà très fort à 2009.

En terres catalanes, on connaissait les "missions commandos" des rugbymen du XV de France, souvent installés à Font-Romeu. Après le succès du stage 2007, le groupe d'élite messieurs de la FFT est revenu, moins pour souder ses troupes que pour les stimuler. Ces rassemblements sont des moments plutôt rares dans la vie d'un joueur professionnel. Et chacun y trouve son compte. Tsonga et Simon n'ont pas oublié qu'ils sont passés par là et que cela leur a réussi. Ils peuvent ainsi partager leur expérience du plus haut niveau et bénéficié de la dynamique de groupe pour un travail foncier exigeant. "Cela me permet de me rassurer physiquement", explique Gilles Simon, qui a dû serrer les dents pour suivre le rythme lors de la sortie en vélo. "Et si je dois servir d'exemple", puisqu'on lui pose la question, "c'est dans l'attitude. Montrer que je suis irréprochable pendant les exercices."

Un groupe hétéroclite, animé d'un même enthousiasme

Tsonga, arrivé un peu plus tard et qui a "échappé" à la sortie VTT, doit ajuster au mieux sa préparation. Lui aussi vante les vertus de ce genre de collectif et souligne l'importance de ces réunions : "Nous avons eu la chance de bénéficier du contact des meilleurs Français, c'est la moindre des choses de rendre la pareille." A écouter Antoine Féret et Mathieu Rodrigues raconter les meilleurs moments du stage (dont leur fameux discours d'intégration...), à voir Benoît Paire s'entraîner avec Simon le matin et Tsonga l'après-midi, on se dit que le courant passe bien entre les générations à la FFT. Laurent Recouderc, 24 ans et proche de Simon, et Mathieu Montcourt (151e), plus expérimentés, disent tout le bien de cette collaboration avec les deux leaders. "Ils nous permettent d'avoir des repères, des indices sur le plus haut niveau" , rappelle le premier. Quelles que soient les différences, cela rassure de voir que l'on passe tous par les mêmes étapes, résume Jonathan Dasnières de Veigy (343e).

Le tennis n'en reste pas moins un sport individuel qui nécessite une personnalisation de plus en plus poussée au fil de la progression. La flexibilité de l'organisation du stage rend possible cette alternance entre suivi individuel et travail en groupe. Le Pâlois Jérémy Chardy (74e) est d'ailleurs accompagné par son fidèle coach Frédéric Fontang et Alexandre Sidorenko (187e) travaille sous l'oeil attentif de son père.

Pour certains, c'est un cycle de quatre semaines de préparation physique qui est mis en place selon Jean-Marc Duboscq (préparateur physique), pour d'autres la réflexion est méticuleuse et permanente... Jo-Wilfried Tsonga, qui regarde plus que jamais vers le haut du classement ATP, n'a ainsi pas voulu dévoiler les détails techniques sur lesquels il travaille actuellement : "Je ne suis pas sûr queFederer, Nadal vous disent comment ils s'entraînent exactement. Je vais faire pareil qu'eux". Tsonga ne divulguera pas ses petits secrets, mais sa simple présence à Saint-Cyprien aux côtés de Gilles Simon, génère de sacrés ondes positives...

L'ENCADREMENT

- Thierry TULASNE (entraîneur)
- Eric WINOGRADSKY (entraîneur)
- Pierre CHERRET (entraîneur)
- Frédéric FONTANG (entraîneur)
- Jérôme PRIGENT (entraîneur)
- Jérôme POTIER (entraîneur)
- Laurent RAYMOND (entraîneur)
. Valeri SIDORENKO (entraîneur)
- Paul QUETIN (préparateur physique)
- Cyril BRECHBUHL (préparateur physique)
- Jean-Marc DUBOSCQ (préparateur physique)
- Christophe CECCALDI (kinésithérapeute)

Eurosport

Je viens de voir à l'instant Jo-Wil faire une modeste mais surprenante apparition dans Le SAV des émissions d'Omar et Fred sur Canal+
J'adore le "service après-vente..." ; malheureusement, les nombreux extraits ont été récemment supprimés de Youtube (copyright oblige )

Sacré Tsonga !!!