Actualité de Coria

vdd a écrit:

Ce qui est con c'est pour ceux qui parlent pas Espagnol.

Bah tu rates pas grand chose, en gros il dit que c'est sa "meilleure" défaite avec celle contre Cuevas, il ne sait pas si il va continuer longtemps, peut etre ce sont ses derniers tournois, peut etre il va continuer plusieurs saisons.
Sinon la trad de sa declaration:
J'ai travaillé avec un tas de psy mais jusqu'a maintenant je n'ai pas trouvé de réponse. Je crois que je fais tout pour me sentir bien, pour etre plus humble, et qu'il m'en manque encore pour etre celui d'avant. Je crois que je ne dois pas trop exiger des parties, j'ai l'impression qu'a l'entrainement je suis meilleur que quand j'était top 10.

maaaaiiiiiis blas!!!!!!
T'aurais pu amener ça d'ue meilleure façon quand même!
la "meilleure défaite avec celle de cuevas" ça craint carrément!

Non mais en gros c'est ça. Il dit qu'il est assez content de son attitude sur le cours parce qu'l a lutter jusqu'au bout, (pas comme en Italie où il s'est fait honte parce qu'il se fichait completement de gagner ou perdre et qu'il se sentait mal pour les gens qui avaient payé la place (il parle souvent de ça : des gens qui paient leur entrée je trouve ) et que c'est grâce à ça qu'il a gagné autant dans le passé et c'est comme ça qu'il regagnera.
Il dit qu'il veut toujours revenir à un bon niveau, et profiter du tennis avant de se retirer vraiment.
(je sais plus si c'est ds cette interview ou ds l'autre mais c'est pareil)

Apprend la langue des singes un peu vdd!!!

youhou blas

Coria a gagné 6/2 6/0 contre le 1570eme mondial :mdr:
pauvre 1570eme mondial il doit vraiment être mauvais pauvre lui


mais bon en attendant, c'est une victoire pour coco :roule:
Allez je vais chercher si y a des info :biggrin:

edit: voilà

Citation :

The Danish champion, Søren Wedege, played his first match to day and according to Søren it was a great experience "To play Coria was a great honour. He is somewhat a legen. With Corias current ranking he is not the highest ranking player I hsve played, I once playes a German player ranked approx. 150. But if you ask someone on the street who the German guy is, they wont know him but I am quite sure most people know who Coria is"

The match started with an ace from Coria and that kind of set the standard. Søren fought the next game and equilased to 1-1. From there Coria didn't look back and won the first set 6-2 in convincing ways. Søren said afterwards that no matter what he hit Coria with it came right back at him... Second set was once again a convincing performance by Coria which he won 6-0. Søren was a bit to eager on his own serve and Coria just kept playing his own game.

from official site
:roule:

youuuuuouuuu ca y est il est de retour l'infame
Je savais meme pas qu'il jouait cette semaine
Il serait temps qu'il fasse de bons résultats, surtout en challenger sinon on n'y croira définitivement plus
En meme temps il a l'air d'etre tombé sur un sacré morceau: the Danish champion :roule:

Putain mais ce mec est un fléau, enlevez lui ses raquettes il emmerde les joueurs de club qui essaient d'avoir un classement atp. C'est une plaie, un briseur de rêves pour laborieux.

Joko a écrit:

Putain mais ce mec est un fléau, enlevez lui ses raquettes il emmerde les joueurs de club qui essaient d'avoir un classement atp. C'est une plaie, un briseur de rêves pour laborieux.

J'avoue que je vois pas bien le rapport...

Joko a écrit:

Putain mais ce mec est un fléau, enlevez lui ses raquettes il emmerde les joueurs de club qui essaient d'avoir un classement atp. C'est une plaie, un briseur de rêves pour laborieux.

Moi j'aimerais qu'il revienne. Il était drôle.

vdd a écrit:

Joko a écrit:

Putain mais ce mec est un fléau, enlevez lui ses raquettes il emmerde les joueurs de club qui essaient d'avoir un classement atp. C'est une plaie, un briseur de rêves pour laborieux.

Moi j'aimerais qu'il revienne. Il était drôle.

idem

Il se passait toujours un truc lorsqu'il jouait.

vdd a écrit:

Il se passait toujours un truc lorsqu'il jouait.

Même quand il jouait pas en fait

Coria, la route du retour


Battu au tie-break du troisième set par Marc Gicquel, l’Argentin a retrouvé l’envie de jouer. Gare à lui au premier tour à Roland-Garros.


N’IMPORTE QUELLE BALLE de
match vendangée peut vous pourrir
une saison. Alors, imaginez l’effet produit
par une paire de balles de match
ratées en finale de Roland-Garros… Il
y a quatre ans, l’Argentin vivait cette
tragédie face à son compatriote Gaston
Gaudio. Depuis, malgré une
année 2005 assez réussie, il court
désespérément derrière ce passé glorieux.
Les deux saisons qui suivirent
semblent extraites d’un scénario
catastrophe. Blessures (épaule,
cuisse), déprime et dysfonctionnement
technique alimentèrent sa chronique
personnelle. Personne n’a oublié
le trou sans fond dans lequel le plongea
la « doublefautite » aiguë qui
jalonna son année 2006. Le roi de la
terre battue d’avant Nadal n’était plus
qu’un fantômemoqué pour sa décrépitude.
L’image d’Épinal associe souvent
sa dépression à l’immense raté de
Roland 2004.
« Monstrueux
à l’entraînement »
La vérité est sans doute moins caricaturale.
D’abord, parce que Coria réussitune
bonne saison 2005,notamment
marquée par une inoubliable finale à
Rome, perdue 7-6 au cinquième set
contre Nadal après cinq heures et quatorze
minutes de jeu. Ensuite, parce
que ces doubles fautes et la déprime
qui s’ensuivit ont sans doute une origine
plus prosaïque. Salement touché
à une épaule, l’Argentin modifia son
geste de service. Il en perdit tous ses
repères, à la fois gestuels et mentaux.
« C’est comme au golf, explique Thierry
Tulasne. On fait une fixette sur le
geste et on perd complètement le
rythme. » En totale crise de confiance,
Coria largua les amarres, en profita
pour visiter son pays et se mit en
vacances du circuit. Il ne revint réellem
e n t a u x a f f a i r e s q u ’ à
l’automne 2007.
Depuis, il tente de redevenir lui-même.
Une première victoire sur le grand circuit
sur l’Italien Francesco Aldi, en
février, à Costa do Sauipe, indiquait
qu’il avait pris la route du retour. Cette
semaine, il a doublé la mise à Casablanca
face à Polansky et manqué de
peu, hier, le train des quarts en ne
s’inclinant qu’au tie-break du troisième
set face àMarc Gicquel.« Jeme
suis étonné moi-même en gardant le
même niveau de jeu du début à la fin,
explique-t-il. La vérité, c’est que j’ai
très envie de jouer. Je suis heureux
d’être sur le terrain. » Cet appétit
retrouvé a suffi à redémarrer le
moteur. Car, pour le reste, à vingtsix
ans, « el Mago » n’a rien perdu de
son talent original. « Il va très vite,
défend très bien, possède un superbe
revers et frappe plutôt pas mal au service,
explique Gicquel. En fait, il n’a
mal joué (deux doubles fautes et une
amortie foireuse dans le jeu décisif)
que sur les moments importants. Ça
prouve que c’est juste une histoire de
temps et de confiance.» «Nicolas
Devilder avait tapé avec lui en
novembre en Argentine, confirme Olivier
Patience. Il était monstrueux à
l’entraînement. Il n’a rien perdu de ses
coups. Son problème, c’est juste dans
la tête. » Qu’il semble avoir désormais
recollé sur les épaules. « Sur ce que j’ai
vu aujourd’hui (hier), il a l’air d’avoir
envie, dit Tulasne. Il a gardé cette
incroyable qualité de déplacement. Il
est combatif. Sa balle va moins vite en
coup droit, mais je trouve qu’il sert
bien. Il ne fait plus toutes ces doubles
fautes. Il ne sera pas bon à jouer au
premier tour de Roland-Garros… »
Car Coria disputera les Internationaux
de France. Bénéficiaire d’un classement
protégé (105e), il a profité avanthier
du forfait d’Andy Roddick pour se
glisser dans le tableau final. « Avec
son jeu et son talent, il n’y a aucune raison
qu’il ne redevienne pas dangereux,
estime Gicquel. Aujourd’hui
(hier), je ne gagneque grâce àmon service.
Sinon, je passe à la trappe. »Gare
au revenant à la patte magique.
VINCENT COGNET

Coria dangereux à jouer au premier tour à RG :biggrin: :mdr: :roule:
Elle est bien bonne celle là!C est vrai qu avec deux matches gagnés depuis le début de l année sur le circuit principal c est une terreur :biggrin:


Sa tete à claque me manque, meme s il m a énervé....c était un sacré bouffon.

Ca fait plaisir un article positif sur Coria, et un article avec lequel je suis d'accord du début a la fin. Notament la partie sur sa dépression, j'i toujours dis que si il avait plongé ce n'était pas a a cause de sa défaite en finale de RG mais bien sa blessure a l'épaule. Je suis un peu dégouté car je suis parti a 61 contre lui dans le premier set, c'était assez marquant ce set car il n'est pas si loin de faire jeu égal, il mene 30/15 sur quasi tous ses jeux de service et les perd presque tous.
J'aurais bien aimé voir comment il a remporté le second set si facilement.
Quoiqu'il en soit Coria semble sur une pente ascendante, Gicquel c'est quand meme une valeur sur sur le circuit, Coria pourrait bien passer 1 ou 2 tours a RG, ce tournoi de Casablanca m'a redonné un peu d'espoir
Je pense que quand il dit dangereux au premier tour, il dit comparativement a son classement, evidemment il ne pense pas a une victoire contre les tous meilleurs.

Au fait merci Roddick

blas a écrit:

Ca fait plaisir un article positif sur Coria, et un article avec lequel je suis d'accord du début a la fin. Notament la partie sur sa dépression, j'i toujours dis que si il avait plongé ce n'était pas a a cause de sa défaite en finale de RG mais bien sa blessure a l'épaule. Je suis un peu dégouté car je suis parti a 61 contre lui dans le premier set, c'était assez marquant ce set car il n'est pas si loin de faire jeu égal, il mene 30/15 sur quasi tous ses jeux de service et les perd presque tous.
J'aurais bien aimé voir comment il a remporté le second set si facilement.
Quoiqu'il en soit Coria semble sur une pente ascendante, Gicquel c'est quand meme une valeur sur sur le circuit, Coria pourrait bien passer 1 ou 2 tours a RG, ce tournoi de Casablanca m'a redonné un peu d'espoir
Je pense que quand il dit dangereux au premier tour, il dit comparativement a son classement, evidemment il ne pense pas a une victoire contre les tous meilleurs.

Au fait merci Roddick

Salut

Je suppose que tu dois reprendre encore plus gout au tennis avec le retour plus ou moins de Coria dans les affaires :biggrin:

J'ai vu le match entier, et dans le 1er set il essayait trop vite de conclure le jeu et arrosait parfois à 30 cm dehors. Au contraire dans les 2° et 3° sets je l'ai trouvé beaucoup plus patient et plus précis dans ses frappes. Il a repris confiance en lui. Mais apparemement ca dure depuis plusieurs matchs, il met du temps à se régler. Peut-être que le fait qu'il doive gagner 3 sets à RG l'aidera...
En tout cas, j'ai été assez étonnée du niveau de jeu qu'il a proposé (ne l'ayant pas vu jouer depuis août 2006...), tout est question de confiance, et de savoir la garder dans les moments clés (c'est là que tout s'est joué).
En tout cas on voit qu'il a retrouvé l'envie, c'est le principal

arabem a écrit:

blas a écrit:

Ca fait plaisir un article positif sur Coria, et un article avec lequel je suis d'accord du début a la fin. Notament la partie sur sa dépression, j'i toujours dis que si il avait plongé ce n'était pas a a cause de sa défaite en finale de RG mais bien sa blessure a l'épaule. Je suis un peu dégouté car je suis parti a 61 contre lui dans le premier set, c'était assez marquant ce set car il n'est pas si loin de faire jeu égal, il mene 30/15 sur quasi tous ses jeux de service et les perd presque tous.
J'aurais bien aimé voir comment il a remporté le second set si facilement.
Quoiqu'il en soit Coria semble sur une pente ascendante, Gicquel c'est quand meme une valeur sur sur le circuit, Coria pourrait bien passer 1 ou 2 tours a RG, ce tournoi de Casablanca m'a redonné un peu d'espoir
Je pense que quand il dit dangereux au premier tour, il dit comparativement a son classement, evidemment il ne pense pas a une victoire contre les tous meilleurs.

Au fait merci Roddick

Salut

Je suppose que tu dois reprendre encore plus gout au tennis avec le retour plus ou moins de Coria dans les affaires :biggrin:

Salut, en fait moi j'ai de la chance le gout du tennis je pense que je le perdrais jamais (contrairement a Babou apr exemple qui aura du mal a se remettre de la retraite de Nadal ), y'a toujours des joueurs que j'apprécie qui arrivent.
Mais c'est sur que voir le joueur que j'ai pris le plus de plaisir a voir (et oui il y a des choses qui ne s'expliquent pas ) ça ne peut que me réjouir.
Merci coria59 pour ton impression du match;), meme quand il perd 61 ca se sentait qu'il ne fallait pas grand chose pour que le match tourne ou soit serré. Et en effet ton hypothese sur les 3 sets gagnants devrait l'aider, ce n'est pas farfelu, ça devrait effectivement lui donner plus de temps pour se lancer dans son match. Esperons le en tout cas

Allez hop!
pour le plaisir

Citation :

Algo que era una sensación el día que anunció su retiro hoy es certeza absoluta: Coria se sacó un peso de encima. Unos meses después de aquel día, con mucho tiempo libre y varios proyectos en su cabeza, Guillermo se permite una relajada sonrisa y, tranquilo y pensante, revisa su trayectoria, opina de sus colegas y hasta aclara algunas polémicas famosas. Por Alejandro Klappenbach - Especial para LA GACETA


1) ¿La primera vez que saliste en el diario fue por el fútbol?
Sí. Jugaba al fútbol y al tenis en Centenario de Venado Tuerto y nuestra categoría jamás había salido campeona, era la única que faltaba en el club. Todavía tengo mucha relación con varios de los compañeros de ese equipo. Era una pulga, me tocó hacer el gol del título y salió mi foto en el diario. Me parece mentira que hayan pasado poco menos de 20 años.

2) A los 11 años te fuiste a los Estados Unidos, a la academia de Nick Bolletieri. ¿Cómo fue vivir solo a esa edad?
A mí me sirvió mucho en lo personal. En lo humano crecés sí o sí, no te queda otra. Estar lejos de tu casa y de tu gente es una gran posibilidad para aprender a valorar todo lo que tenés. No es algo para cualquiera, no es lo ideal, pero aprendés un montón. Cocinás, dormís mal, comés peor... Si lo asimilás te deja muchas enseñanzas.

3) ¿Qué no harías si volvieras a empezar tu carrera?
Cambiaría menos de entrenador, me portaría mejor con ellos. Cuando encontrás alguien con quien trabajás bien, con quien tenés buena onda afuera de la cancha y con quien sacás buenos resultados, debés hacer todo lo posible por mantenerlo. Los jugadores muchas veces nos creemos los únicos importantes y actuamos como si todos los entrenadores fueran iguales, y no es así. Hay mejores y peores. Por eso al tipo que te da confianza debés mantenerlo con vos.

4) ¿Josep Perlas es uno de los entrenadores que intentarías mantener?
No, Perlas no. Aunque no es el único culpable de lo que pasó con mi saque, ya que los primeros cambios los hice en los cuartos de final de Roland Garros 2004, por el dolor en el hombro que terminó en la operación. En ese momento no trabajábamos juntos. El tiene parte de la culpa y yo el resto. A un número tres del mundo no le cambiás nada si el jugador no acepta. Yo acepté, ese fue un gran error.

5) Nombraste Roland Garros 2004. ¿Viste el video de la final?
Sí, claro. En los match-points pensé en positivo, pensé que podía ganar, es difícil pensar claro cuando estás nervioso y cansado. No podía planificar una estrategia, me la jugué en los dos casos, busqué tiros ganadores que se fueron por poquito. Si cuidaba y perdía me hubiese sentido mal. Estoy tranquilo, mas allá de la oportunidad perdida.

6) ¿Cómo definirías tu relación con Nalbandian?
Es de respeto. Tuvimos nuestra pica como jugadores porque el del tenis es un ambiente muy competitivo. El tema con David es que compartimos muchas cosas de chicos, cuando los egos no son tan grandes. Con el tiempo las diferencias existieron, pero aquel pasado, aquellos viajes, las competencias juntos, los partidos de dobles, siempre funcionaron como un seguro para nuestra relación. No somos amigos, tenemos nuestra pica, pero nos respetamos muchísimo.

7) ¿Y con Gaudio?
La misma pica, la misma competencia, choques parecidos, pero sin el pasado compartido. Gastón es de otra camada, nunca viajamos juntos, no tenemos esas cosas en común. Y entonces, cuando las diferencias salen a la luz, no hay nada que proteja el vínculo. Mas allá de las diferencias, también lo respeto mucho. Era muy parecido a mí, él pensaba que yo lo gastaba, yo pensaba lo mismo sobre él... Nunca entendí por qué me mató tantas veces cuando daba notas, son cosas difíciles de olvidar. Fuera de todo esto, está peleando a full y ojalá que pueda volver a meterse.

¿Es verdad que se fueron a las manos en el vestuario después de la semifinal del Masters Series de Hamburgo 2003?
No fue para tanto. Me dijo algo cuando termino el partido, porque creyó que yo había fingido unos calambres y en el vestuario la discusión fue fuerte. El estaba convencido de que yo lo había gastado. Había otras cosas también, Gastón estaba con Davín, yo había terminado muy mal con Franco, hubo historias en partidos anteriores... Le dije que le preguntara al fisioterapeuta que me atendió para que le contara lo que tenía. Pero Gastón nunca quiso escucharme, estaba demasiado caliente en ese momento.

9) ¿También hubo líos durante la serie de Copa Davis en Eslovaquia 2005? Se habló de discusiones y peleas porque vos rompiste un pacto.
Habíamos pautado llegar antes y que yo llegué más tarde, pero tiene una explicación. El US Open de ese año, el de las dobles faltas contra Massú y Ginepri, me dejó mal de confianza, por eso le dije a Mancini que iba a jugar el torneo de Beijing para volver a sentirme bien. Cuando llegué a China se hablaba de que Moyá y Ferrero habían tirado el torneo en 2004, justamente porque tenían serie de Copa Davis unos días después. Estuve muy vigilado, no es fácil tirar un partido mas allá de lo que se diga desde afuera. Llegué a la final, la jugué y viajé a Eslovaquia un día y medio más tarde de lo pautado. No fue lo ideal, pero perdimos porque nos superaron, mi tardanza no tuvo nada que ver con el resultado, aunque muchos se agarraron de eso para justificar algunas cosas. Además, la prensa no tendría que haberse enterado de lo que se habló en el vestuario. Alguien botoneó.

10) La última de discusiones. Agassi se enojó con vos en Roma 2005…
Nuestra relación siempre fue especial porque Gil Reyes estaba con él pero siempre hablaba muy bien de mí, y Andre se ponía un poquito celoso. Gil quiso entrenarme, es algo que quedó pendiente. En 2004 arreglé para hacer dos semanas de la pretemporada 2005 con Reyes, durante las vacaciones de Agassi. Cuando Andre se enteró suspendió sus vacaciones. Desde ese momento se creó una rivalidad. Me acuerdo de que en Roland Garros 2004 le gané por primera vez en mi vida. Ahí le perdí el respeto y eso a él no le gustaba, estaba acostumbrado a que todos le jugaran casi con miedo. Ese día, en Roma, yo estaba seguro de que la pelota que marqué había sido mala, pude haberme equivocado, pero estaba seguro en ese momento. El "ojo de halcón" demostró que había tocado por muy poquito. Gil Reyes me dijo un tiempo después que Agassi intentó usar ese enojo para desconcentrarme porque no le encontraba la vuelta al partido.

11) ¿Tenés la sensación de que te queda algo por arreglar con él?
No, ya fue. El hecho de no tener un buen inglés me limitó en varias cosas, entre ellas mis conversaciones con Andre. A mí me daba mucha vergüenza, no podía soltarme al hablar en inglés. Cuando me operé del hombro en 2004, él se portó excelente. Si yo hubiese hablado bien inglés, la relación habría sido muy diferente, con más tiempo compartido.

12) ¿En qué momento de tu carrera sentiste "llegué"?
Siempre quería más, nunca sentí que llegaba al techo. Eso me pasó cuando jugué contra Guga Kuerten la semi de Montecarlo, a los 19 años. Fue en 2001, venía de ganarle a Gastón el torneo de Viña del Mar, y perder un partido parejo contra el mejor del mundo en polvo de ladrillo me convenció de que podía jugar mano a mano contra ellos.

13) ¿Cuándo dejaste de viajar en clase Turista?
Después de ganar los cuatro challengers seguidos, a fines de 2000. Como uno de los sponsors era una aerolínea, gané muchas millas y por eso hice algunos viajes en Bussiness. Pero el cambio fue en 2003. La primera vez que viajé en esos asientos, con esa comida y esa atención, pensé que jamás podría tomar un vuelo en Turista. Para el último torneo, el de Tailandia, fuimos con el Tero García ¡en Económica! Son 40 horas que parecen 2000. Como todo, cuando te acostumbrás, dejás de valorarlo.

14) ¿Tu mejor partido?
Contra Agassi en Roland Garros 2003, Nadal en Roma 2005 y Youzhny en Stuttgart 2003, cuando le gané 6-0 y 6-0, ese día jugué el mejor tenis de mi vida. Pero puesto en contexto y por todo lo que consiguió después, la final de Roma contra Nadal es el partido de mi vida: el rival, la instancia, el torneo, la duración lo convierte en especial.

15) Te pido que elijas una virtud y un defecto como jugador…
Dentro de la cancha me sacaba y descargaba la presión con mi entrenador. Eso nunca me gustó, era algo que no podía controlar. Algunos se lo bancan pero no está bien. Mi mayor virtud siempre fue la actitud, odiaba perder un punto, fue lo que me acercó a los objetivos. Sangre, espíritu, sacrificio... Jugué cada partido como una final.

16) ¿Qué fue lo mejor de haber dejado el tenis?
No tener horarios es genial. Poder decidir las cosas que voy a hacer en el momento, casi sin planificación previa. Si quiero jugar al fútbol con amigos lo hago sin miedo a lesionarme. Levantarme más tarde, salir, acostarme a la hora que quiero. Es un cambio importante.

17) ¿Qué es lo más complicado o peligroso de ser famoso y millonario a los 22 años?
La plata nunca fue importante para mí, jamás tuve conciencia de mis números hasta que me retiré. La noche es brava, complicada. La fama es más difícil que la plata. Muchas chicas se te regalan, les divierte estar con alguien famoso, poder contárselo al otro día a sus amigas. La gente en general es muy cholula, no razonan que uno es igual a ellos. Y te pasa tantas veces que resulta difícil no empezar a creértelo. No es fácil. Lo fundamental es tener gente alrededor que te baje a la Tierra.

18) ¿Te ayudó casarte tan joven?
Sí, me ordenó la vida fuera de la cancha, aunque casarme me dio felicidad antes que orden. Carla es alguien muy importante en mi vida, me bancó en cada momento difícil, nadie estuvo tanto ni tan cerca como ella. Y nunca se preocupó por los estúpidos rumores de infidelidad y separación.

19) ¿Un famoso que te haya pedido una foto?
Bono, de U2. Yo había ganado el torneo de Montecarlo y estábamos cenando en un bar. Estaba Lucas Bernardi, que hoy juega al fútbol en Newell’s y en aquel tiempo lo hacía en Mónaco. Lucas conocía el dueño del lugar, que se presentó y me preguntó si me gustaba U2. Le dije sí, y al ratito apareció todo el grupo, que estaba grabando un disco en Montecarlo. Lo vi a Bono que encaraba para nuestra mesa y empecé a temblar. Me felicitó, había estado en la final, le gustaba mi juego. Me pidió que al irnos nos sacáramos la foto. Cuando nos paramos para salir hacia el hotel, se acercó y la sacamos. Tengo la foto en casa, estamos Bono, Carla y yo. Genial.

20) ¿Cómo definirías tu relación con la prensa?
Me da la sensación de que se habló poco de tenis y mucho de las peleas y diferencias. También es cierto que di y dimos muchos motivos para hablar en ese aspecto.

21) ¿Qué cosa común para alguien de 27 años que nunca habías hecho estás haciendo ahora?
Llamar al proveedor de Internet porque se corta el servicio, ¡llamar al plomero! Esas cosas son nuevas para mí, hacer trámites me vuelve loco. Llamar por teléfono y que te tengan horas y horas, que te atienda una máquina, que se corte la comunicación me saca.

22) ¿Sos fanático del cine?
Sí. El cine me sirvió como escapatoria, la gente no te ve en el cine, es cuestión de organizarte, llegás justo antes, te vas primero y listo. Me encantan las pelis pochocleras, y también soy fana de De Niro y Al Pacino.

23) ¿Qué tiene Del Potro que lo hace distinto, que lo pone en esa categoría de elite?
Todavía le falta continuidad. Cuando ganás torneos te empiezan a mirar y descubren tus puntos débiles, eso te obliga a adaptarte. Si logra hacer esos pequeños cambios y no sufre problemas físicos, puede instalarse un buen tiempo ahí arriba. Tiene pasta, golpes, un saque tremendo, gran revés, una derecha que mejoró mucho, gran movilidad para su altura. Tiene hambre y maduró muchísimo en poco tiempo. Será el líder del equipo de Copa Davis, puede jugar y ganarle a cualquiera en la superficie que sea, eso es importante a nivel Davis.

24) ¿Cambiarías algo del reglamento?
La nueva reglamentación del dóping me parece una barbaridad. Tener que informar un lugar donde puedan ubicarte cada día del año es un abuso. Ahora estoy fuera del circuito, pero los jugadores están en contra de la medida, no tiene sentido. Pongo un ejemplo: Acasuso es de Misiones y si dijo que va a estar en Buenos aires, tiene que quedarse ahí y no puede viajar a su provincia si no lo tenía planeado y declarado. Lo mismo Nalbandian con Córdoba, a mí me hubiese pasado con Rosario.

25) ¿Te gusta el "ojo de halcón"?
Sí, claro, ayuda mucho. Cuando vas a Estados Unidos a enfrentar un nombre pesado, te sentís respaldado. En Wimbledon es clave porque el juego es muy rápido. Además, la gente siente que participa, juega a buena o mala. Para la tele también suma, está bueno cuando lo ves en tu casa. Deberían buscar la manera de ponerlo en más canchas y en más partidos.

26) Dentro de 10 años te ves con hijos. ¿Qué cosas repetirías de lo que tus viejos hicieron con vos?
La forma de educarme. El ejemplo de lucha, de constancia, de perseverancia. Nos enseñaron el valor del sacrificio y de la responsabilidad. Si consigo transmitirles eso a mis hijos, estaré muy contento.

27) ¿Hay alguna que no harías?
Sí, pero me las guardo para mí. Ser papá no es fácil, más allá de las buenas intenciones. Dentro de unos años te contesto la pregunta otra vez.

28) ¿Cuándo fue la última vez que lloraste por el tenis y en la vida?
Lloré por el dóping, lloré en Roland Garros, lloré por la operación. Fueron momentos muy complicados. Y en la vida, cuando murió un amigo, a los 12 años. Tuvo un accidente de auto y se fue para siempre. También cuando falleció mi abuelo y no pude llegar al entierro.

29) Si te quedara un último agradecimiento, ¿a quién se lo darías?
A mis viejos, sin dudas. Ellos son los responsables de gran parte de mi carrera y de mi vida. Cuando éramos chicos se privaron de cientos de cosas para que a nosotros no nos faltara nada.

30) ¿Y el último "perdón" para quién sería?
Por las macanas grandes ya gasté muchos perdones.

http://www.lagaceta.com.ar/nota/338688/Deportes/Guillermo_Coria_.html

ça faisait un moment que j'avais pas lu une interview.
En plus j'aime bien celle là. ça change de celles où on lui pose toujours les mêmes question.
J'aime bien comment il défini sa relation avec Nalbandian et avec la presse aussi, ça fait honnete comme réponse. Et pour Gaudio c'est domage, je préferais penser qu'ils s'étaient battus
et le coup de Agassi qui arrete ses vacances j'avais oublié qu'il avait failli travailler avec Reyes à une époque.
je l'immagine bien aussi en train de gueuler contre les services clients au téléphone
C'est marrant aussi qu'il dise Rome 2005 comme le match de sa vie. Je suis d'accord, mais j'aurais cru qu'il choisirai une victoire.

Marvolo, ça veut dire quoi "soltar" ? je l'entend relativement souvent et je sais pas ce que ça veut dire...
"Alguien botoneo" si je comprends bien ça veut dire "quelqu'un a cafté"?
je comprend pas la derniere phrase non plus : "Por las macanas grandes ya gasté muchos perdones."

Pour les traductions,evite de donner juste le manque parce qu'en espagnol,y a beaucoup de mots polysemiques et surtout,entre espagnol d'espagne et d'amsud,y a enooooooormement de distinctions.

Alors soltar,ca veut dire lacher,ca peut etre Soltar la maleta(lacher la malette) ou Soltar el partido(lacher le match)
Botonear,c'est cafte,meme si je trouve plus correct PORTE PLAINTE ou FAIRE UN RAPPORT.
La derniere phrase,c'est une expression pour dire qu'il s'est deja beaucoup excuse parce que ce qui transpire de l'itw,c'est qu'il a conscience d'avoir bien merder.

Pour Nalbi,c'est une relation d'amitie-rivalite,mais,comme ils ont connus plein de choses(davis,Victoire de Coria sur Nalbi a RG junior ou victoire en double ensemble a Wimbly),ca restera toujours un ami.T'facon,dans le clan argentin,t'as de petits conflits mais ca retombe tres vite.Y a qu'a voir Nalbi et Delpo qui,maintenant,s'apprecient beaucoup...

Sans oublier le verbe coger qui n a pas du tout la meme signification pour espagnol qu un sud americain.

Ne jamais dire coger el tren en amérique du Sud...

Moi,a chaque fois que j'entend NO TE PREOCUPES,PASAREMOS A RECOGERTE,j'ai toujours le petit sourire con...

Marvolo a écrit:

Moi,a chaque fois que j'entend NO TE PREOCUPES,PASAREMOS A RECOGERTE,j'ai toujours le petit sourire con...

:biggrin:

Citation :

La derniere phrase,c'est une expression pour dire qu'il s'est deja beaucoup excuse parce que ce qui transpire de l'itw,c'est qu'il a conscience d'avoir bien merder.

oui, le pôôvre hin?
en fait c'est un gentil, c'est juste que ça se voit pas trop sur le cours :mdr: (je rigole mais le pire c'est que ça doit être vrai)

Citation :

Pour Nalbi,c'est une relation d'amitie-rivalite,mais,comme ils ont connus plein de choses(davis,Victoire de Coria sur Nalbi a RG junior ou victoire en double ensemble a Wimbly),ca restera toujours un ami.T'facon,dans le clan argentin,t'as de petits conflits mais ca retombe tres vite.Y a qu'a voir Nalbi et Delpo qui,maintenant,s'apprecient beaucoup...

je sais pas... il dit clairement qu'ils ne sont plus ami mais que leur passé sert de base à leur relacion.
Et j'ai pas l'impression que Delpo et Nalbi s'apprecient beaucoup. Je pense juste qu'ils ont mis leurs probleme de coté pour le bien commun (coupe davis)
Dailleur en parlant de Nalbi, je suis tombé sur un magazine dans l'hostal avec une interview de lui. Y a aussi des photos du genre on voit que son ombre pendant qu'il réfléchit intensément sur son lui profond

Ben Coria,il a conscience d'avoir ete un gros con du temps de sa "splendeur".Moi j'aime bien ca.

Pour Nalbi,ils sont encore amis,juste qu'ils ont eu des differents et notament le retard en davis de Coria.Il la veut vraiment la davis Nalbandian...
Pour Delpo,non,c'est regle,c'etait une histoire a chaud et franchement,je comprends le pt de vue de Nalbi et pas parce que c'est mon chouchou,mais tout simplement parce qu'en tant qu'argentin,la davis(comme toutes competitions impliquant la nation),ca passe avant tout.
Donc voir Delpo se blesser aux Masters et ensuite reclamer de nouvelles negociations pour les gains,ben ca a ete mal pris et pas que par Nalbi.

Delpotro c'est un vrai champion de tennis qui rêve de faire péter les GC et les gros titres. La Coupe Davis passe après et il a bien raison. Un Masters ça se refuse pas quoi que puisse en penser Nalbandian dont la gestion de carrière et les objectifs fixés sont tout sauf un exemple.

C'est à dire qu'ils avaient vraiment la CD à portée de bras.

Et à coté de ça Del Potro est juste allé faire de la figuration en Masters.
D'ailleurs ce n'est que grâce aux défections de Nadal et Roddick qu'il doit sa qualif.

Résultat final, ils se font ridiculiser à domicile par des Verdasco et Lopez.
Y a de quoi être en pétard...