Articles sur Gasquet

vdd a écrit:

J'imagine l'ambiance avec Gasquet qui entre dans les vestiaires avec son cartable et que les gros chicanos de Nadal, Gonzalez et Ferrer commencent à le regarder en coin avec un filet de bave au coin de la bouche. Il ira chercher du réconfort près de Federer et Roddick, mais ça peut prendre cher aussi de ce côté là.

je vois trop la scene

Agassi a écrit:

vdd a écrit:

J'imagine l'ambiance avec Gasquet qui entre dans les vestiaires avec son cartable et que les gros chicanos de Nadal, Gonzalez et Ferrer commencent à le regarder en coin avec un filet de bave au coin de la bouche. Il ira chercher du réconfort près de Federer et Roddick, mais ça peut prendre cher aussi de ce côté là.

je vois trop la scene

Un truc à la Prison Break. Avec Nadal qui lui tapote sur l'épaule en lui disant "Tu te rappelle à Bercy." avec un air sadique. :mdr:

vdd a écrit:

Agassi a écrit:

vdd a écrit:

J'imagine l'ambiance avec Gasquet qui entre dans les vestiaires avec son cartable et que les gros chicanos de Nadal, Gonzalez et Ferrer commencent à le regarder en coin avec un filet de bave au coin de la bouche. Il ira chercher du réconfort près de Federer et Roddick, mais ça peut prendre cher aussi de ce côté là.

je vois trop la scene

Un truc à la Prison Break. Avec Nadal qui lui tapote sur l'épaule en lui disant "Tu te rappelle à Bercy." avec un air sadique. :mdr:

et qui laisse tomber son savon aussi

:mdr: :roule: :roule: :roule: :mdr:

Agassi a écrit:

et qui laisse tomber son savon aussi

:mdr: :roule: :roule: :roule: :mdr:

Oui mais là, étant passé entre les mains expertes de Noah, il sera blindé pour le coup. En tout cas garre au bizutage. Plus sérieusement, je suis vachement curieux de savoir ce que Gasquet peut nous faire dans ce Masters.

Je viens d'avoir LA revelation !!!

Mais oui vous ne comprenez donc pas ???

Gasquet est bel et bien le plus grand genie tennistique de tous les temps, malheuresement, quand d'autres prefere le rally a la victoire, Gasquet lui prefere les petites attentions coquines de ses camarades de jeu aux grands titres !

Il est quand meme vachement malin !

Pas de chance, il est tombé sur une sacré bande sur agassi.fr, et on peut pas dire qu'on soit la moitié d'un trou de balle une fois tous reunis !

vdd a écrit:

Plus sérieusement, je suis vachement curieux de savoir ce que Gasquet peut nous faire dans ce Masters.

bah je dirais , battre le record du 100m en se barrant vite fait quand il rentrera dans le vestiaire :biggrin:

En tout cas, on se marre bien plus avec Gasquet qu'avec les Grosjean et compagnie. :mdr:

vdd a écrit:

En tout cas, on se marre bien plus avec Gasquet qu'avec les Grosjean et compagnie. :mdr:

c'est clair entre lui et phm on est gaté.

je rajouterais monfils aussi qui peut être tres drole à se blesser tout seul , où d'avoir des entraineurs en cdd non renouvelable d'un mois.

En tout cas, Gasquet et Djokovic ont intérêt à s'entraider pour éviter le bizutage méchant des chicanos sur un faux indoor lent. Mais Djokovic a tout du traître. Pas de chance pour Riri. En plus, il y a même pas ses potes blacks Monfils et Tsonga pour lui protéger l'arrière-train.

vdd a écrit:

En plus, il y a même pas ses potes blacks Monfils et Tsonga pour lui protéger l'arrière-train.

Va savoir s'il lui protege ou s'il lui defonce, moi je ne sais que choisir

Bon ok j'arrete ^^

Une photo prise durant le match riri / nalbide :

Agassi a écrit:

Une photo prise durant le match riri / nalbide :

:roule:

allez je la mets là aussi, ça sera plus facile pour la retrouver(meme si je vais essayer d'en faire une autre quand je serais moins fatigué)

Riri est prêt à partir pour le masters :

Riri est arrivé !!!

bon bah personne a répondu à mes petits montages

:larme:

J'en ai rigolé, je dois t'avouer

Mais le pauvre Gasquounet, il en prend plein la !

Pourvu qu'il ne nous lit pas, il serait definitivement traumatisé !

arabem a écrit:

J'en ai rigolé, je dois t'avouer

Mais le pauvre Gasquounet, il en prend plein la !

Pourvu qu'il ne nous lit pas, il serait definitivement traumatisé !

:biggrin: je m'attendais aussi à une réaction de vdd ou d'agassi91 :biggrin:

même si le forum est de plus en plus connu, je pense que jamais gasquet ou tout autre joueur connu passera un jour ici.

ça serait bien n'empeche d'avoir un français du top 100 par exemple qui vienne sur le forum nous livrer les infos de l'intérieur

Gil t'as pas ça dans tes relations ? même un top 200 ça me va :biggrin:

Ben moi, je trouve ça trop drôle ce petit *Gasquet qui veut jouer chez les grands mais qui va encore dire aux maîtres qu'il peut pô jouer parce qu'il a oublié sa trousse ou bien qu'il a mal aux dents et qu'il peut pas courir, ou encore qu'il sait pas sur quel court il joue son match parce que c'est trop grand le stade

Justement pour ton forum mon cher Jerome, certains n'oseront pas venir s'inscrire ici car ils s'estiment que c'est un forum uniquement consacré à Agassi, pour les nostalgiques quoi...
Or c'est bien evidement faux, on parle ici surtout de l'actualité et de tous les joueurs...

arabem a écrit:

Justement pour ton forum mon cher Jerome, certains n'oseront pas venir s'inscrire ici car ils s'estiment que c'est un forum uniquement consacré à Agassi, pour les nostalgiques quoi...
Or c'est bien evidement faux, on parle ici surtout de l'actualité et de tous les joueurs...

c'est vrai, mais je pense que ça contribue à faire un écremage.

Faut déjà être un "ancien" ou aimer le tennis pour aller sur le site d'un gars à la retraite . A mon avis ça nous protege de la dérive qu'a connu infotennis, avec l'insciption massive de boulets qui a fini par couler le forum.

et je prefere qu'on soit une cinquantaine à poster régulierement , que 5000 inscrits

DE NEW YORK A SHANGHAI


De l’US Open à sa qualification pour le Masters, ce week-end, Richard Gasquet est passé par une multitude d’émotions.


Aucunjoueur françaisn’avait jamais réussiàsequalifier
pour le Masters aussi jeune que Richard Gasquet. Demifinaliste
à Bercy samedi, il a décroché in extremis sa
place pour Shanghai, la semaine prochaine, avec Federer,
Nadal et les cinq autres meilleures raquettes de la
planète. À vingt et un ans, Gasquet a vécu cette
(presque) fin de saison en passant par tous les stades.
De l’échec total cet été aux États-Unis à la reprise en
main de sa destinée au POPB cette semaine : retour sur
neuf semaines et demie qui ont transformé l’élève en
maître.


DEMAIN, RICHARD GASQUET
va jouer au tennis en France pour la
dernière fois avant un sacré
moment. Il ne s’agira pas du tout de
préparer le Masters mais simplement
de taper un peu la balle pour se
protéger. Impossible en effet de passer
trop de temps sans tenir la
raquette sous peine de voir se rallumer
« pleins feux » l’énorme
ampoule qui martyrise le creux de sa
main depuis cet été. Après-demain
viendra l’heure de s’envoler pour
Shanghai : Richard Gasquet va disputer
la semaine prochaine le premier
Masters de sa carrière. À vingt
et un ans, il a décroché cette saison
– la cinquième complètement
dédiée au circuit professionnel – sa
place parmi les huit meilleurs
joueurs de la planète invités à se
départager lors de l’ultime tournoi
de l’année. Depuis près de quarante
ans que cette épreuve existe, aucun
Français n’avait réussi à se hisser si
haut si tôt. Paradoxalement, il y a
tant de choses que Richard Gasquet
a réalisées « si tôt » qu’il est facile
de le trouver en retard pour presque
tout le reste. Lui-même sait qu’il ne
sera pas « tranquille », aux yeux des
observateurs du jeu, tant qu’il ne
sera pas installé aux sommets de la
hiérarchie. Il sait aussi que son
talent le prive de tout joker vis-à-vis
des critiques. Ces dernières
semaines, il a pu vivre de très près
tout ce qui fait l’existence d’un sportif
de haut niveau : l’abattement,
l’espoir, le doute, l’euphorie. Retour
chronologico-géographique sur les
deux mois en montagnes russes qui
vont lui permettre de franchir la
muraille de Chine.
NEW YORK :
ANGINE TONIQUE
Les journalistes américains n’en sont
sans doute pas encore revenus. Au
matin du deuxième tour de
l’USOpen, le 30 août dernier, ils sont
très impatients de voir leur espoir
national (de longue date mais toutoujours
très jeune) Donald Young en
découdre avec Richard Gasquet sur
le central de Flushing Meadows. Ils
tiennent forcément une bonne histoire
pour leur édition du lendemain.
Mais voilà que le Français est annoncé
en salle de conférences de presse.
What’s up ? Accompagné de toute
une troupe de supporters (coach,
papa, agent, responsables du Team
Lagardère, etc.), Richard Gasquet
vient annoncer qu’il a une angine et
qu’il déclare forfait. Les Américains
ne sont pas sûrs de bien saisir :
« Juste à cause d’une angine ? »
demandent-ils alentour. Sévère
certes, mais juste une angine, effectivement.
« J’ai vraiment bien fait de ne pas
aller sur le court à New York, parce
que j’aurais pris une taule », rappelle
encore aujourd’hui Gasquet. « Il a
été trop honnête ce jour-là, constate
son entraîneur, Éric Deblicker. Il
aurait presque dû entrer sur le court
puis abandonner. Mais puisqu’il ne
se sentait pas capable, il n’y est pas
allé. » Le mal était fait et la mention
« Renonce avant d’essayer » fut
logiquement accolée aunomde Gasquet.
« Il était complètement détruit
de sentir un destin contraire et de ne
voir aucune échappatoire », se souvient
Francis, son père.
La déception fut d’autant plus forte
que lemeilleur joueur français, sur la
lancée de sonmagnifique parcours à
Wimbledon (retour de deux manches
à rien en quarts de finale contre Roddick,
défaite en demies contre Federer),
avait retrouvé de l’énergie au
sortir d’un été américain pourri.
Défaite d’entrée à Montréal, malgré
balle de match, contre Verdasco.
Abandon d’entrée à Cincinnati, pour
cause d’ampoule, contre Hewitt. Il
n’y eut aucune onde positive à ramener
d’outre-Atlantique. « Les critiques
qui allaient forcément suivre
ne me travaillaient pas, car je me
sentais bien avec moi-même », jure
Gasquet. De fait, personne autour de
lui n’eut à constater un abattement
rédhibitoire, « preuve que Richard,
contrairement à l’image qu’il peut
renvoyer, est très fort dans la résilience,
soutient Deblicker. Il rebondit
pratiquement à chaque coup
dur… »
À peine de retour à Paris, le joueur
démontra encore son manque de
calcul en termes d’image (qui a dit
que c’était un défaut ?) en se rendant
comme si de rien n’était au match
PSG-OM, au Parc des Princes. On lui
expliqua en haut lieu que c’était
maladroit, quelques jours après
avoir paru mourant à New York,
mais « même à 42 oC de fièvre ou en
chaise roulante, je serais allé le voir,
ce match, glisse-t-il sans agressivité.
À la limite, j’emmerde ceux qui trouvent
ça critiquable. Si tu commences
à regarder le regard des autres (sic),
tu meurs. Tu ne peux plus vivre. »
MUMBAI ET TOKYO :
ASIE MAJEURE
Remis de son angine, Richard Gasquet
est désormais prêt à reprendre
le rythme. C’est lemoment que choisit
Éric Deblicker pour ajouter un
ingrédient essentiel dans la recette :
Yannick Noah. « Ça faisait un
moment que j’avais pensé à faire
intervenir “Yann” auprès de
Richard, et le timing était idéal puisqu’on
avait du temps devant nous,
explique le coach. L’idée avait mûri
chez Richard, je voulais que l’envie
vienne aussi de lui. Il y a des
moments où on a besoin d’un petit
coup d’accélérateur. C’était le
moment. »
Avec Noah, on connaît la chanson :
le contact est aisé et le coup de boost
réel. Le charisme du vainqueur de
Roland-Garros 1983 (que Gasquet
et Deblicker avaient prévu de croiser
à nouveau, aujourd’hui ou demain)
agit comme un générateur
d’enthousiasme surpuissant. Nicolas
Perrotte, qui prépare le corps de
Gasquet à encaisser sa vie d’apprenti
champion, assista à quelques
séances de panier qu’il n’a pas pu
oublier : « Je n’avais jamais vu
Richard jouer avec une intensité
pareille. Il a été capable d’intégrer
très rapidement des choses qu’on
avait déjà dû lui dire avant mais que
je ne l’avais jamais vu faire. Yannick
lui demandait notamment d’appliquer
quelques détails au niveau du
déplacement, et j’ai senti que chez
Richard il y avait cette capacité à les
réaliser. Il avait les moyens, la coordination
et la rapidité pour produire
une formidable intensité au niveau
du bas du corps. J’ai été très impressionné.
Malgré la claque qu’il avait
prise, médiatiquement, après son
US Open, il y avait chez lui beaucoup
de détermination, de remobilisation,
ça se voyait. Et il était vraiment
très, très bien avant de partir en
Inde. »
Mumbai accueille un Gasquet resplendissant,
qui survole le tournoi
sans perdre un set, « et c’était justement
l’objectif que nous nous étions
f i x é e n s embl e ,
raconte Deblicker :
remporter au moins
un titre en 2007. On
n’évoquait pas du
tout le Masters à ce
moment-là ». Gasquet
ne perd pas son
tennis sur la route du
Japon et décroche
une place de finaliste
à Tokyo, la semaine suivante. Il
reconnaît aujourd’hui lui-même
qu’il lâcha vite l’affaire en finale
contre Ferrer (6-1, 6-2), mais ses
deux belles semaines asiatiques le
propulsent alors à sept tout petits
points de la huitième place de la
Race, le classement servant à déterminer
les participants au Masters.
Ça y est presque, et le sprint européen
indoor va forcément être vécu
au rythme de cette course à Shanghai
pour le Français.
MADRID ET LYON
LE DOSSIER DE L’ÉCRAN
Richard Gasquet n’est plus dans les
mêmes dispositions physiques à son
retour d’Asie. Son genou est douloureux
(inflammation) et la fatigue
accumulée à cause des matches et
des voyages ne s’arrange pas au
cours d’un aller-retour de représentation
imposé par le règlement ATP
à Vienne, tournoi où il était censé
s’aligner mais dont il choisit prudemment
de se retirer après sa réussite
nippone. Gasquet arrive à
Madrid en sachant qu’un quart de
finale est quasi impératif pour rester
en lice dans la course au Masters. Il
tombe d’entrée sur un Paul-Henri
Mathieu dont la finale à Moscou,
trois jours plus tôt, a décuplé la
confiance. Gasquet résiste mais
perd (7-6, 7-5) et dit : « Ma participation
à Lyon, la semaine prochaine,
risque de poser question, j’espère
être remis d’ici Bercy. J’ai un très
beau plasma chez moi, donc j’aurai
une belle image pour le Masters.
J’aurai l’impression d’y être. Parce
que là, c’est perdu, il y aura bien un
joueur qui ira super loin ici, à
Madrid. LeMasters s’est envolé… »
La résignation est-elle réelle ou le
bel écran en question n’est-il que de
fumée ? « C’était une bonne attitude
de s’être exprimé comme ça,
pense Deblicker. Il s’agissait de faire
reculer la pression. » Comme aucun
des autres principaux candidats au
Masters ne fait quoi que ce soit de
bon à Madrid, le Français reste
néanmoins totalement dans la lutte.
Mais à Lyon, rebelote, avec une
défaite prématurée, dès le deuxième
tour, contre Jo-Wilfried Tsonga.
Et des déclarations plus étonnantes
encore : « Je suis très fatigué
physiquement et mentalement. Il
faudra voir par rapport à Bercy. Je
n’irai pas à seulement 70 ou 80 %de
mes moyens, sinon je vais me faire
lyncher… Tu te fais siffler et tout…
À Bercy, c’est quand même spécial.
Et si je dois arrêter là ma saison, je
considère qu’elle a été bonne. »
Pense-t-il réellement renoncer par
crainte des sifflets ? « C’était uniquement
des propos tenus sous le
coup de la déception d’après
match », jure aujourd’hui son
entraîneur. Il n’est plus ensuite
question d’un éventuel forfait parisien.
Le verdict du POPB va donc
pouvoir tomber.
BERCY :
PARIS GAGNÉ
Dix-sept joueurs ont encore une
chance d’arracher à Bercy leur qualification
pour le Masters. Deux y parviendront
: Gonzalez et Gasquet.
C’est pourtant un drôle de tirage qui
attend le Français puisque son pote
Tsonga se dresse à nouveau sur sa
route, comme à Gerland. Un joli test
qu’il passe sans brillermais avec fermeté,
notamment en bouclant avec
beaucoup d’autorité le tie-break du
deuxième set (7-5, 7-6). Il élève son
niveau de jeu au tour suivant pour
écarter James Blake (7e) sans trembler
(6-4, 6-4). Son premier quart de
finale à Bercy se jouera contre Andy
Murray, lui aussi en quête d’un
ticket pour Shanghai. Gasquet qualifie
à juste titre ce match de « plus
important de (sa) carrière ». Il le
gagne, malgré une bulle à encaisser
au deuxième set et les sifflets si
redoutés à essuyer dans la foulée.
Un vrai signe de caractère (6-3, 0-6,
6-4).
Pourtant, son match le plus dur
l’attend encore le lendemain : la
demi-finale Nadal-Baghdatis. En
effet, une victoire de l’Espagnol le
propulserait automatiquement à
Shanghai. Le samedi matin, Gasquet
a mal au ventre. Il craint une
rechute d’une ancienne blessure aux
abdominaux. Il consulte le docteur
Montalvan. Les douleurs ne sont
que d’origine nerveuse. Ouf ! Alors
il se met à suivre chaque point du
match de Nadal sur un « très beau
plasma » (encore) dans le salon des
joueurs à Bercy. Émotionnellement,
on est à des années-lumière d’une
préparation idéale pour sa propre
demi-finale contre David Nalbandian,
programmée
dans la
foulée. « Dis
donc Rafa, tu
pourrais pas lui
jouer un peu
plus le coup
droit, à Baghda ? » demande-t-il
plusieurs fois à Nadal à travers
l’écran, en constatant la réussite
côté revers du Chypriote. « P’taing,
il est énorme Marcos, là, il est partout
», s’inquiète-t-il en voyant
Baghdatis se détacher 6-4, 2-0. Mais
finalement, jamais la fureur de
vaincre de Nadal n’aura autant fait
plaisir à Gasquet : le Majorquin
inverse la tendance et, à 18 h 12, il
bat le Chypriote et envoie le Français
en Chine. « On est tombés dans les
bras l’un de l’autre et après il a fallu
que Richard tente de se concentrer
sur son match, raconte Deblicker.
Mais il n’y est arrivé que beaucoup
trop tard… » Battu 6-2, 6-4 par Nalbandian,
Gasquet avait déjà la tête
dans les étoiles. Celles qu’il côtoiera
la semaine prochaine au Masters.
JULIEN REBOULLET


Source: l'equipe

GASQUET AU REPOS
. – Hier,
l’unique qualifié français pour le
Masters de Shanghai n’a pas touché
la raquette. Il était question d’un
déjeuner avec Yannick Noah, mais
finalement le jeune homme a
déjeuné « à la maison », confie son
père Francis. Cela se fera peut-être
demain (aujourd’hui), «mais ce n’est
pas sûr, car Yann est peut-être
encore à New York », a ajouté Éric
Deblicker. À part ça, la journée est
passée vite, avec des démarches
pour obtenir le visa nécessaire pour
l’entrée en Chine et les soins pour
éviter toute aggravation de
l’ampoule logée dans la main droite
de Richard. « C’est un kiné qui lime
la corne, cela prend une heure »,
explique papa Gasquet. Aujourd’hui,
le numéro 1 français devrait taper
dans la balle à Roland-Garros, en
début d’après-midi. Le départ est
prévu demain, vol direct pour
Shanghai

excellent les photos de riri ca fait tellement vrai j'en rigole mais je l'aime bien le riri j'espère qu'il va aller loin au masters et qu'il ne se la jouera pas gamin justement !!

Suite à une accumulation d'attitudes qu'on pourrait qualifier de tarlouze, la wta a décidé de changer le mode de calcul pour définir les 8 qualifiés à son masters, en voici d'ailleurs la photo officielle :



:mdr: :roule: :mdr:
:brice:

Ah nan, carrement tu as osé !


:mdr: :mdr: